1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : forêt et dérapage


    Datte: 21/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... son regard se perdait dans mon décolleté. Il ne m’avait pas échappé que son jeans serré était déformé par une érection prometteuse. J’avais trouvé ce que je cherchais. Je lui ai souri, ce qu’il a pris pour une confirmation qu’il ne s’était pas trompé sur mon compte. Il est alors passé au tutoiement.
    
    • Avec mon copain, on s’est dit que tu prendrais bien un café avec nous. Nous sommes étudiants mais nous sommes libres cette après-midi.
    
    Je pouvais encore arrêter l’engrenage et prendre la poudre d’escampette. Au lieu de ça, j’ai senti le désir de ce type et je me suis dit : « tant pis pour toi, Philippe, tu n’as pas fait ce que tu avais promis de faire. Alors, je trouve moi-même. »
    
    J’ai suivi Daniel et je me suis assise entre lui et son compère.
    
    Nous avons commencé par les présentations. J’appris qu’ils étaient tous les deux étudiants, âgés de 21 ans, en villégiature cette après-midi là. Ils ne cachèrent pas qu’ils s‘étaient posté à cet endroit stratégique pour « lever des filles »
    
    • Mais on ne pensait pas rencontrer une jolie femme comme toi!
    
    Daniel et son copain avaient compris que je n’étais pas là par hasard. Ils firent des gros yeux quand je leur dis que j’avais 39 ans. Ils auraient pu être mes fils. Ca tombait bien. Depuis l’époque de Rachid et mes séances hebdomadaires à la cité, j’aimais particulièrement rencontrer des amants bien plus jeunes que moi.
    
    • Tu es là pour faire du shopping, faire chauffer la carte bancaire pendant que ton mari est au ...
    ... boulot ?
    
    • Oui, pour ça et d’autres choses, si l’occasion se présente !
    
    • Ca semble clair ! nous sommes à ta disposition, ma belle !
    
    A ce moment là, comprenant ce que je recherchais, ils ne gênèrent plus. Pratiquement en même temps, les deux jeunes hommes mirent la main sur ma cuisse. Je sentais monter en moi mon excitation. Mes tétons se dressaient et je savais que ma chatte devenait de plus humide. Des semaines de privation allaient prendre fin. J’avais une envie folle de baiser avec ces deux types.
    
    Antonio mit alors la main sur ma tête et m’attira vers lui pour prendre mes lèvres. Je répondais avec passion à son invitation, accordant ensuite la même chose à Daniel. Je faisais cela dans cette galerie commerciale, sans me soucier d’être éventuellement reconnue, même si, sortant peu, le risque était très limité.
    
    • Je vois que tu n’as pas froid aux yeux pour une femme mariée ! On ne peut pas faire davantage ici sinon on risque l’attentat à la pudeur.
    
    • On va chez toi ? Nous on a chacun une petite chambre chez l’habitant, ce n’est pas possible.
    
    • Chez moi non plus, car mes enfants vont rentrer de l’école et de la crèche.
    
    • J’ai une idée : dans la forêt à proximité, il y a un endroit discret, une clairière. On prend ta voiture et on y va !
    
    Je n’ai pas discuté, je les ai suivis. Ils me prirent par la main et nous rejoignirent ma voiture, notre progression étant ralentie par les baisers fougueux que nous échangions.
    
    EN FORET
    
    Daniel prit le volant et je ...
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