1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : forêt et dérapage


    Datte: 21/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... chronologie, se fait en fonction de ma volonté, de mes besoins de « catharsis ». Ce n’est pas facile, mais dire ce qui s’est passé me fait beaucoup de bien. C’est aussi le cas pour ce texte, que je publie après en avoir parlé avec Philippe et Agun.
    
    Ceci s’est donc passé en juin 2016, avant ma rencontre avec N sur notre lieu de vacances. Ce dérapage était plus grave que les précédents de l’automne 2015, car hors cadre candauliste et sans que Philippe ne soit au courant au moment des faits. Cela était annonciateur de ce qui allait se passer quelques semaines plus tard avec N.
    
    MANQUE ET DISPUTE
    
    A ce moment-là, il y avait près de trois mois que Philippe n’avait rien organisé pour moi dans un cadre candauliste, contrairement à nos accords.
    
    J’étais de plus en plus frustrée et je ne pouvais être apaisée ni par mes étreintes saphiques avec Agun, ni par mes relations avec Philippe, ni par les plaisirs solitaires.
    
    J’avais d’ailleurs constaté que la fréquence de mes masturbations, que j’ai toujours pratiquées assidument, ne cessait de s’accroître. Quand l’envie me prenait, il fallait que je me soulage, avec la difficulté que mes orgasmes sont difficilement silencieux et discrets. A la maison, pendant le temps scolaire, ça ne posait pas de problème et j’occupais une part de mon temps à me caresser, à me doigter, à partir de lectures érotiques ou en pensant à des mâles vigoureux qui m’enverraient en l’air. Je pensais aussi à ce que j’avais vécu et c’est à ce moment-là ...
    ... que j’ai commencé à écrire les textes que j’ai ensuite publiés sur HDS.
    
    C’était plus difficile de me soulager après le retour des filles de l’école. Je devais m’occuper d’elles et il ne fallait pas qu’elles me surprennent ou m’entendent.
    
    Ce n’était pas simple non plus quand j’étais à l’extérieur et, en conséquence, je limitais mes sorties. Quand l’envie me prenait, il fallait que je trouve un endroit pour me masturber, dans ma voiture, une salle de cinéma, une cabine d’essayage ou encore des toilettes. Celles qui avaient dû patienter avant que je sorte devinaient ce que j’avais fait, du fait de mes gémissements, difficiles à contrôler. En règle générale, elles ne disaient rien, certaines me lançant un regard noir et réprobateur. Je me souviens cependant d’une dame qui devait avoir la cinquantaine et qui, elle, me traita de « poufiasse », de « perverse », de « dégénérée ». Mon sang n’avait fait qu’un tour et j’ai répondu avec insolence :
    
    • Tu devrais essayer, tu verras, ça fait du bien !
    
    Je me suis prise une gifle, finalement bien méritée. C’est cet incident qui m’a amené à parler à Philippe le soir même, une fois les filles couchées.
    
    J’ai raconté à Philippe ce qui s’était passé dans la journée :
    
    • Chéri, ça va va faire trois mois que tu n’as plus rien organisé. Je n’en peux plus, tu le sais. Je suis en manque, j’ai envie d’être baisée par un mâle. Tu sais bien que même si tu me donnes du plaisir et que je t’aime de toute mon âme, tu ne me suffis pas. Quant à ...
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