1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : forêt et dérapage


    Datte: 21/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... dard.
    
    C’est dans cette mêlée et cette position que j’ai joui un nombre considérable de fois sous les coups de boutoir dans le cul et la bouche de mes deux jeunes amants.
    
    RETOUR A LA MAISON ET CONSEQUENCES
    
    Je suis rentrée tard ce jour-là, les filles étaient déjà couchées, Agun était rentrée chez elle.
    
    Philippe m’avait attendu. Il était en colère, son visage était fermé. Il savait, ou du moins avait deviné ce qui s’était passé. Il m’a dit par la suite qu’il s’en était voulu de ne pas avoir compris la veille que j’étais à un point où je ne pouvais plus attendre. Mais sur le moment, nous n’en n’avons pas parlé.
    
    J’ai voulu tout lui raconter, comme je l’avais toujours fait, à l’exception, à l’automne 2014, de mon adultère avec Denis, la vraie raison qui m’avait poussé à démissionner de mon travail (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (53) : le bureau. « 29 novembre 2018)
    
    Il m’a arrêté, me faisant comprendre qu’il ne voulait pas que j’approche, contrairement à nos habitudes, où il demandait que je raconte et où ça se terminait en général au lit, Philippe allant à la découverte des traces de mes ébats.
    
    • Pas ce soir, s’il te plait. Vas prendre une douche, tu sens la putain.
    
    Je suis devenue pâle, car ...
    ... jamais, au grand jamais, Philippe ne m’avait parlé comme ça. J’étais coupable d’un grave dérapage et je ne voulais pas en rajouter même si j’avais envie de lui dire qu’il m’avait poussé dans cette voie, que c’est en désespoir de cause que je m’étais laissée aller à ça et, que, dans des circonstances similaires, il n’avait rien trouvé à redire, au contraire !
    
    Mais, moi non plus, je n’avais pas voulu à ce moment-là d’une explication qui aurait peut-être éviter un autre dérapage, encore plus grave, mon adultère avec N.
    
    Les semaines qui suivirent furent celles d’un apparent retour à la normale, Philippe semblant avoir oublié « l’incident ».
    
    Ce n’est que bien plus tard, après le terrible épisode N, que nous sommes revenus en détails sur ce qui s’était passé ce jour-là. Pour en arriver à ceux conclusions :
    
    • Des excuses réciproques, les miennes car j’avais volontairement dérapé. Et celles de Philippe, pour n’avoir pas su percevoir mon état de manque et aussi pour la façon dont il m’avait « accueillie » à mon retour.
    
    • Une ferme résolution du « plus jamais ça », ce qui suppose de ma part de m’en remettre aux initiatives de Philippe et, pour celui-ci de veiller à une périodicité « raisonnable », répondant aux exigences de mon hypersexualité. 
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