1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : forêt et dérapage


    Datte: 21/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... et qu’ils voulaient me revoir.
    
    • Justement, j’ai peur que tu ne tombes amoureuse d’un autre.
    
    • C’est bien ce que je pensais. Tu ne me fais pas confiance et en plus tu ne fais pas ce qu’il faut ! Tu mettais plus de zèle à retrouver cette petite putain d’Ambre ! Je me demande d’ailleurs si tu ne la revoies pas en cachette.
    
    Philippe a blêmi à ce moment là. Je l’avais vexé. Je savais qu’en évoquant sa liaison avec Ambre, je touchais un point sensible.
    
    • Encore cette histoire, Olga ! C’est insupportable, tu vas me la reprocher encore longtemps ? J’ai rompu avec elle, ça fera bientôt deux ans, avec brutalité et devant toi. Cette petite ne méritait pas d’ailleurs d’être traitée ainsi ! Nous lui avons fait beaucoup de mal.
    
    • Au fond c’est elle qui te faudrait, ou Flavienne. Moi je suis trop exigeante sans doute ! Je sais ce qu’il me reste à faire.
    
    Nos disputes ont toujours été rares, mais nous savions l’un et l’autre que nous n’étions pas sur la même longueur d’ondes. Cette nuit-là, je suis allée dormir dans la chambre d’ami.
    
    De fait, j’ai peu dormi, car j’étais très en colère. Je me suis souvenue de toutes ces années, de ma volonté, après notre rencontre, de rompre avec mon hypersexualité, de construire, avec Philippe, un couple classique, en devenant une honorable mère de famille. Or mon mari m’avait harcelé, pendant des années, pour que j’assume pleinement mon hypersexualité, allant jusqu’à organiser un adultère le soir de notre (premier) mariage et finir par ...
    ... faire appel à un véritable prédateur, Rachid, pour me faire retomber dans mon hypersexualité, sans imaginer sans doute jusqu’où cela nous mènerait. Et maintenant, il n’assumait plus, c’est du moins ainsi que je le ressentais. Je sais aujourd’hui que j’étais injuste, mais à ce moment précis ma frustration et mon manque étaient les plus forts.
    
    J’étais donc bien décidée à me passer de l’autorisation de Philippe et à agir, dès le lendemain. Je me suis gardée d’en parler à Agun qui aurait sans doute su trouver les mots pour me calmer et que je redevienne raisonnable. Je savais ce dont j’avais besoin et j’étais bien décidée à agir en conséquence.
    
    PREPARATIFS
    
    Le lendemain matin, nos relations étaient toujours aussi fraiches avec Philippe. Il avait manifestement lui aussi passé une mauvaise nuit et n’avait pas eu droit à sa traditionnelle fellation du matin. Nous n’avons pas échangé un mot. Nous avons préparé les filles, que Philippe déposait à l’école pour les deux aînées et à la crèche pour la dernière. Je n’ai pas eu droit à mon baiser habituel avant qu’il ne s’en aille. Il m’a seulement informé qu’il rentrerait plus tard ce soir-là, du fait de ses obligations professionnelles. Cela ne pouvait que conforter mes intentions.
    
    J’ai appelé Agun :
    
    • Ma chérie, comme tu es disponible, tu veux bien récupérer Lucie et Leila à l’école, Sofia à la crèche, puis rester avec elles jusqu’au retour de Philippe ?
    
    • Je le ferai. Mais pourquoi t’absentes-tu ? Tu ne veux pas qu’on ...
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