1. Une femme élégante


    Datte: 18/01/2022, Catégories: fh, campagne, Collègues / Travail amour, caresses, pénétratio, fsodo, nostalgie, rencontre, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... qu’elle ne rentrerait que tard dans la nuit et qu’elle passerait à l’hôpital dans la journée du lendemain. Elle n’était pas inquiète outre mesure, ce genre d’évènement étant habituel et récurrent. Je lui dis qu’elle avait peut-être là le moyen de nous éviter une journée ennuyeuse : elle prenait un air inquiet, allait voir le grand patron en lui parlant de l’hospitalisation de son mari, elle devait rentrer en urgence et, comme j’étais son chauffeur, j’étais obligé de partir moi aussi. Elle pouffa de rire et s’exclama :
    
    — Chiche ! C’est ce qu’elle fit.
    
    Vers neuf heures, nous étions sur l’autoroute du retour. J’étais épaté de l’audace qu’elle avait eue. La circulation était fluide, nous roulions à bonne allure, mais j’émis le besoin urgent de m’arrêter pour satisfaire un besoin naturel. Elle m’avoua partager cette envie, mais ne pas vouloir des toilettes douteuses des aires d’autoroute et préférer la nature. Moi aussi. Je quittai donc l’autoroute à hauteur de la Sologne, pris la première petite route boisée, puis la première allée forestière. Arrêtés en pleine nature, Claire s’étira, bailla, seuls les chants d’oiseaux se faisaient entendre à l’ombre des grands arbres. Je m’enfonçai sous les frondaisons, marchant silencieusement sur un tapis de mousse plus épais qu’une moquette du Ritz. Mon envie satisfaite, je revins vers la voiture. Mais au détour d’une grande touffe de fougères, je trouvai Claire accroupie, jupe relevée et culotte baissée en train de faire la même ...
    ... chose. De trois quarts arrière, la vision des orbes blancs et charnus de ses fesses nues me sauta en plein visage. Le spectacle était somptueux, avec les cuisses repliées sur ses bas sombres, tenus par les sangles d’un porte-jarretelles noir qui barraient sa peau immaculée. Alors que le chuintement du jet d’urine se mit à emplir le silence, je ne pus retenir mon émoi :
    
    — Superbe, fis-je !
    
    Surprise, Claire se retourna à demi en voulant protester :
    
    — Mais veux-tu bien ne pas regarder, espèce de…
    
    Le reste se perdit dans sa chute. Le mouvement l’avait déséquilibrée sur ce sol incertain, et Claire bascula en arrière, arrosant sa culotte, ses bas et sa jupe qu’elle tenait en bouchon et qu’elle lâcha pour amortir sa chute.
    
    — Ah c’est malin, pestait-elle irritée. Tu ne pouvais pas regarder ailleurs ?
    — Non, j’aurais raté une vision grandiose. Tu es trop belle, que veux-tu. J’étais fasciné. Mais je suis désolé… Attends, on va arranger ça.
    
    Elle gisait assise dans la mousse, jambes encore écartées, sa touffe blond foncé bien visible et tellement attirante dans les rais de soleil. Je l’aidai à se relever, sortis un paquet de mouchoirs en papier, puis entrepris de l’essuyer. Je la débarrassai de sa culotte souillée, puis lui dis que sa jupe ne valait guère mieux. Elle la dégrafa, jetant alentour des regards inquiets de bête traquée. Je l’aidai à la quitter, toujours accroupi à ses pieds, puis je fis de même pour les bas. Elle se laissait faire, s’appuyant sur mon épaule pour ...
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