1. Une femme élégante


    Datte: 18/01/2022, Catégories: fh, campagne, Collègues / Travail amour, caresses, pénétratio, fsodo, nostalgie, rencontre, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... quitter puis remettre ses chaussures une à une. J’essuyai les brins de mousse sur ses fesses, l’urine sur ses cuisses, osai remonter jusqu’à son entrecuisse pour essuyer la source de la catastrophe. Elle fléchit un peu les genoux, me laissant œuvrer à ma guise. J’y prenais un réel plaisir, et je sentais mon sexe durcir, mon désir monter. Quand je me redressai enfin après avoir pris beaucoup de temps pour ce travail minutieux, elle me regarda droit dans les yeux et me dit froidement :
    
    — Bien, et qu’est-ce que je fais maintenant ?
    
    Elle ne put pas tenir plus longtemps son air sévère. Elle était là en pleine forêt, cul nu, sexe au vent, avec un chemisier et une petite veste. Incongrue certes, mais pas ridicule. C’était ça la classe d’une telle femme, elle parvenait à être admirable dans n’importe quelle circonstance. Je lui demandai :
    
    — As-tu déjà fait l’amour avec un arbre ?
    — Bien sûr que non.
    — Alors, viens.
    
    Elle me suivit jusqu’à un gros tronc centenaire, en partie couvert de mousse et légèrement incliné. Je la collai contre le tronc, lui faisant écarter les jambes jusqu’à ce que son sexe toucha la mousse, que les deux mousses se confondent. Je lui ouvris son corsage, soulevai son soutien-gorge au-dessus de ses seins, puis lui fis prendre le tronc à pleins bras. D’une main passée entre ses fesses, je massai sa vulve et la pressai contre le tronc. De l’autre, je pris ses seins par dessous, pressant pour en faire jaillir le téton que je frottai doucement contre ...
    ... l’écorce rude. Je continuai ainsi jusqu’à sentir l’humidité envahir sa vulve et mouiller mes doigts. Elle renversa la tête en arrière, comme si elle regardait la cime de l’arbre en proférant :
    
    — Oh, nom de dieu que c’est bon !
    
    Quelques instants plus tard, elle redressa juste le buste et se dégagea vivement de sa veste, de son chemisier et de son soutien-gorge. La sage Claire était maintenant complètement nue, mouillant comme une folle, en pleine forêt solognote, deux de mes doigts dans son vagin. Je n’en croyais pas mes yeux. Ce corps était vraiment un morceau de roi. Magnifiquement équilibré, puissant et musclé, une peau parfaitement blanche et sans le moindre défaut, privée de soleil depuis trois ans, de gros seins lourds, mais de bonne tenue grâce à un torse bien développé, c’était une superbe plante. En plus, rien que son chignon parfait et ses chaussures à hauts talons lui conféraient un port de reine. Je bandais tant que j’eus un peu de mal à libérer mon sexe apoplectique. Je me collai à elle et lui murmurai à l’oreille :
    
    — Sens-tu ? Sens-tu comme tu fais bander cet arbre ? Il va te prendre, te baiser comme tu le mérites…
    
    Et je présentai mon sexe à l’entrée de sa chatte. Elle gémissait, soupirait. Je la pénétrai lentement, mais d’une seule traite, jusqu’à la garde, sans difficulté grâce à son abondante sécrétion. Elle frémit de tout son corps, poussant un long « aaahhh » de satisfaction. Je la pris avec une force à la hauteur de mon désir. Mes grands coups de ...
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