Occupation et conséquences - Histoires de Sexe

Occupation et conséquences

... émis aucune objection, bien au contraire. Tous les gardes me seraient passés dessus que j’en aurais redemandé.
— Calme-toi. Tu n’avais pas le choix si tu voulais ne pas être séparée de ton mari peut-être des années durant…
— Mais j’ai…
— Laisse-moi finir. Tu as fait ce qu’il fallait pour suivre Ian, quand tu as accepté les conditions de ce porc de sergent, mais il était visible que cela te bouleversait de devoir agir ainsi. Tu étais dans un état de fébrilité extrême. Pour pouvoir l’endurer sans se révolter, ta conscience s’est mise en sommeil. Ta volonté de fuir a été occultée, pour être remplacée par ceci qui te permettait de subir l’étreinte des deux soldats…
— Que veux-tu dire ?
— Je veux dire que ton désir de suivre Ian a primé toute autre considération et qu’en conséquence ton corps pour empêcher que ce ne devienne un supplice insupportable a fait ce qu’il fallait. Il a rendu la saillie voluptueuse.

Patricia regarde son amie incrédule :

— Tu te moques ! Je n’ai plus pu me contrôler quand j’ai senti leurs mains sur moi. S’ils avaient décidé d’abandonner leur projet, je les aurais suppliés de ne pas me laisser, de me baiser. Je n’aspirais qu’à cela : forniquer, être ramonée, avoir la ...

... chatte remplie.
— Quand il faut affronter une chose que l’on ne peut éviter, il est préférable d’y prendre du plaisir que d’en souffrir. C’est ce qu’à ton insu, ton âme a senti et le Tout Puissant dans sa grande miséricorde a permis que tu jouisses de ces étreintes imposées. Il a vu que tu avais le cœur pur. Il a voulu adoucir ton tourment.
— Tu es en train de me dire que c’est Dieu qui m’a transformée en chienne lubrique.
— Ce qui est arrivé t’a permis de supporter l’haïssable sans devenir enragée.
— Si, je suis devenue enragée, enragée du cul.

Audrey continue une partie de la nuit à s’efforcer d’apaiser la conscience tourmentée de la comtesse. Elle parvient à atténuer ses remords. Patricia finit par s’endormir d’un sommeil point complètement serein. Avant de la suivre dans les bras de Morphée, Audrey ne peut s’empêcher de songer au spectacle qui lui a été offert durant l’après-midi. Elle en est toujours aussi abasourdie d’avoir vu la comtesse de Swordfish se débaucher avec deux hommes à la fois, suçant et baisant des heures durant, en prenant son pied sans simuler. Avec en point d’orgue, d’être prise par les deux ensemble avec manifestement moult plaisirs. Tout cela est proprement inimaginable.