Occupation et conséquences
Datte: 08/08/2018,
Catégories:
fhh,
humilié(e),
chantage,
Oral
double,
Partouze / Groupe
historique,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... rhabillent prestement. Au moment de sortir, le sergent se retourne et lance à Patricia :
— Hé la belle, t’oublies quelque chose !
— Quoi ?
— De nous dire merci pour ce que nous avons fait pour toi.
Elle n’en croit pas ses oreilles. Pour qu’il s’en aille au plus vite, elle finit par dire :
— Merci.
— C’est tout ! Soldat tu ne trouves pas que c’est un peu court après tout le mal qu’on s’est donné pour elle.
— Pour sûr, sergent.
— Alors ma belle, pourquoi dis-tu merci ?
— Merci de ne pas m’avoir dénoncée et de me permettre de voir mon mari.
— Et ?
— Merci beaucoup.
— C’est pas Dieu possible ! Faut t’arracher les mots de la bouche. Allez, je vais t’aider. Merci de m’avoir évité des tentations quand je verrai mon mari.
— Merci de m’avoir évité des tentations quand je verrai mon mari.
— Comme je suis une grande salope, merci d’avoir sorti vos queues pour moi.
— Comme je suis une grande salope, merci d’avoir sorti vos queues pour moi.
— Tu vois ce n’est pas compliqué. Va, continue comme une grande fille.
Patricia comprend que l’homme est excité par les mots et par le plaisir de l’humilier. Si cela permet qu’ils s’en aillent plus vite, elle va lui donner satisfaction :
— Merci de m’avoir pétri les nichons. Merci de m’avoir permis de sucer vos bites et de bouffer du foutre. Merci d’avoir baisé la chienne en chaleur que je suis. Merci d’avoir bourré ma moule de pouffiasse. Merci de m’avoir fait prendre mon pied de catin lubrique. Merci d’avoir éteint le feu ...
... de mon cul. Merci pour le ramonage de ma chatte…
Le soldat interrompt sa litanie :
— Sergent, il faut y aller.
Le sergent jette un regard noir à Lucien avant de lancer à la comtesse assise, toujours nue, sur les ballots :
— Tu vois, je savais bien qu’un sac à foutre comme toi saurait trouver les mots pour nous témoigner sa reconnaissance pour notre générosité. Parce qu’on n’a pas hésité à y mettre du cœur pour te réconforter et on n’était pas trop de deux. Je n’y ai pas pensé, mais on aurait dû appeler des camarades à la rescousse. Deux ou trois de plus, ça ne t’aurait pas fait peur. Même que tu aurais apprécié, hein, salope, c’est dommage, maintenant il est trop tard, on doit partir. Si tu veux, je peux glisser un mot à la relève. Je suis sûr qu’il y a des gars aussi généreux que nous parmi eux.
Patricia prend peur, si ce gros porc parle aux gardes, ceux-ci vont guetter sa sortie, ce qui mettrait son projet par terre, puisqu’elle ne doit pas ressortir :
— Ce n’est pas la peine, sergent. Le soldat et vous m’avez comblée. Je n’avais pas été à la fête ainsi depuis longtemps. Il n’y a pas dire vous savez troncher une femme et lui donner de la satisfaction.
— C’est toi qui vois, la belle. Allez, à bientôt j’espère. Si tu veux revenir voir ton mari, nous sommes de garde demain. Tu n’auras qu’à demander le sergent Pierre Belrive et le soldat Lucien Brindacier.
Là-dessus les deux hommes ouvrent la porte et s’éloignent au pas de course, au grand soulagement de ...