1. Occupation et conséquences


    Datte: 08/08/2018, Catégories: fhh, humilié(e), chantage, Oral double, Partouze / Groupe historique, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... Patricia qui avait redouté jusqu’au dernier moment qu’ils ne la reconduisent à la sortie, malgré leur promesse. Les tensions sexuelles et psychiques retombées, elle revient aux réalités. Il faut qu’elle s’harnache la plus vite possible, cela lui évite de penser à ce qui vient de se passer les quatre dernières heures durant, parce que cela a duré presque quatre heures. Elle se bande la poitrine et revêt la culotte de l’uniforme. Avant de mettre le haut, il faut qu’elle se nettoie le visage et les cheveux englués de sperme. Elle le fait avec les restes de son jupon, mais ça a séché et est collant. Elle a du mal à essuyer. Il faudrait de l’eau, mais il n’y en a pas. Elle fait au mieux, quand Audrey entre en lui disant :
    
    — Le sergent Quincannon doit être très inquiet. Habille-toi vite.
    
    Elle n’avait nul besoin d’encouragement, elle n’a qu’une hâte quitter cet endroit.
    
    — Il y a un abreuvoir près de l’entrée. Tu empestes le foutre. Il faut te laver la figure, sinon le sergent va trouver ça curieux.
    
    Patricia s’arrête pétrifiée. Elle regarde son amie effarée et ne peut que bégayer :
    
    — Quo… Quo… Quoi ?
    
    Audrey la secoue en l’aidant à se vêtir, et lui explique :
    
    — Quand j’ai vu que tu n’arrivais pas, je me suis inquiétée et ai décidé de venir voir ce qui se passait. Le sergent ne voulait pas, mais je l’ai fait quand même. Il a grommelé, mais m’a laissée partir. En arrivant, j’ai vu un sergent Canfrais entrer où tu te changeais. Je me suis glissée dans le cagibi ...
    ... attenant pour voir si les choses tournaient mal et en cas de besoin appeler à l’aide, mais ce n’a pas été nécessaire. En voyant que tu gérais fort bien le problème, je me suis gardé d’intervenir pour ne pas faire tout capoter. Je me suis contentée de surveiller. Comme ça, si cela se gâtait pour toi j’appelais du secours.
    — Vous… commence Patricia, quand elle réalise qu’Audrey l’a tutoyé : tu as surveillé… tout le temps ?
    — Oui, mais ne t’inquiète pas, il n’y avait personne d’autre.
    
    Déjà d’apprendre qu’Audrey ait assisté à tout ce qui vient de se passer lui fait un choc. Il n’aurait plus manqué qu’il y eut d’autres spectateurs… Qu’est-ce que son amie va penser d’elle après ce qu’elle vient de voir et d’entendre. À cette idée, tout ce qui vient de se passer durant les quatre dernières heures et qui était nimbé dans un bienheureux brouillard lui revient avec une précision inouïe. Tout ce qu’elle a fait, tout ce qu’elle a dit. Comme elle reste les bras ballants, Audrey la houspille :
    
    — Allons dépêche-toi. Le temps passe, ils vont bientôt fermer la porte et tout ce que tu as fait, pour rejoindre ton mari n’aura servi à rien.
    
    Entendre cela réveille Patricia. Elle s’active presque frénétiquement. Rapidement elle se trouve en tenue. Audrey l’entraîne vers l’abreuvoir. L’eau en est douteuse, mais à cheval donné on ne regarde pas s’il est borgne. Aidée de sa compagne, elle nettoie le visage et les cheveux. Toutes deux se dirigent ensuite vers le bâtiment où elle entre sans ...