Occupation et conséquences
Datte: 08/08/2018,
Catégories:
fhh,
humilié(e),
chantage,
Oral
double,
Partouze / Groupe
historique,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... encombre. Elles retrouvent le sergent qui avait fini par s’imaginer qu’elles avaient retrouvé un peu de sens commun et renoncé à leur projet. En les voyant s’approcher, il grommelle que les femmes sont de bien curieux animaux et demande ce que diantre elles ont fabriqué pour arriver si tard. Audrey explique qu’un chariot s’est arrêté devant l’endroit où Patricia se changeait en bloquant la sortie. Il a fallu attendre qu’il bouge pour qu’elle puisse sortir. Le sergent les emmène manger puis les conduit dans endroit plus tranquille pour dormir en leur recommandant de faire attention à ne pas commettre d’impairs qui permettraient de se rendre compte de leur état.
Une fois couchée, Patricia ne trouve pas le sommeil. Ce n’est pas seulement sa chatte malmenée qui l’en empêche, mais surtout le souvenir de cet après-midi à la fois terrifiant et fascinant. Elle se remémore particulièrement, quasi mot à mot, son discours de remerciement.
Audrey sent que son amie est agitée et ne peut s’endormir. Elle comprend en repensant à cette journée. En voyant que Patricia s’était fait surprendre, elle a été désespérée, persuadée qu’elle allait être expulséemanu militari. Puis voyant qu’elle réussissait à discuter, elle s’est dit qu’elle arriverait à attendrir les deux soldats. Quand elle a compris ce qu’ils attendaient de son amie pour la laisser poursuivre, de nouveau elle a pensé que c’était la fin de l’aventure. Elle a été surprise que l’impudente proposition ne soit pasillico balayée ...
... avec mépris. De voir ensuite la comtesse se laisser déshabiller ou, pour être plus sincère, se déshabiller avant de s’agenouiller devant les deux hommes pour leur faire une pipe, l’avait stupéfiée. Elle voudrait ne pas laisser Patricia se ronger, mais n’ose amorcer la conversation. C’est cette dernière, oppressée par le remords, qui prend la parole :
— J’ai trompé Ian. Je l’ai cocufié, plus que cocufié : trahi. Je ne pourrais jamais plus le regarder en face.
— Non tu ne l’as pas trahi. C’est pour le rejoindre que tu l’as fait. Peu aurait été capable de supporter ce que tu as supporté par amour pour son mari.
— Supporté ! ricane Patricia. Tu n’as pas bien vu. Pendant dix minutes peut-être. Après, cela m’a troublée, puis émoustillée et enfin excitée, de plus en plus excitée. Quand je leur ai dit merci à la fin, c’était pour leur plaire, pour m’en débarrasser, qu’ils partent, mais ce que j’ai dit, que j’étais contente qu’ils m’aient pétrie les nichons, permis de sucer leurs bites et de bouffer leur foutre, qu’ils aient baisé la chienne en chaleur que j’étais, bourré ma moule de pouffiasse, fait prendre mon pied de catin lubrique, éteint le feu de mon cul et ramoné ma chatte, c’était vrai. Quand ils se sont mis à me labourer tous les deux en même temps, je ne voulais pour rien au monde qu’ils arrêtent. Quand le sergent a dit qu’il n’était pas trop de deux. Il voyait juste. S’il avait appelé deux ou trois camarades à la rescousse, en rut et déchaînée comme j’étais, je n’aurais ...