Occupation et conséquences
Datte: 08/08/2018,
Catégories:
fhh,
humilié(e),
chantage,
Oral
double,
Partouze / Groupe
historique,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... qui est son mari. Il paraîtra peut-être curieux qu’elle soit venue ici, alors que les officiers sont retenus ailleurs. Elle pourra toujours dire qu’elle l’ignorait. De toute manière, même si le lieutenant accepte qu’elle puisse voir son mari, elle ne pourra embarquer. Il faut qu’elle attendrisse ce soldat qui n’a l’air ni bien méchant, ni surtout ben malin. Elle se dégage en suppliant :
— S’il vous plaît, laissez-moi y aller, ça ne nuit à personne. Votre lieutenant il va me chasser et je ne pourrais pas embrasser mon mari une dernière fois.
Elle voit l’homme hésiter. Elle pense avoir gagné la partie, mais l’échange a attiré l’attention du sergent Belrive qui à son tour entre :
— Hé bien soldat Brindacier ! Que se passe-t-il ?
Celui-ci explique. Le sergent regarde Patricia et dit :
— Ainsi la petite dame veut aller dire au revoir à son mari chéri.
— Oui, monsieur l’officier, répond-elle, pensant que lui donner du monsieur l’officier peut le mettre dans de bonnes dispositions.
Effectivement, le sergent y est plutôt, pas grâce au grade dont elle l’a gratifié, mais par ce que révèle le corsage ouvert de la comtesse. Il ne peut forcer la belle. Les ordres ont été stricts : pas de violence d’aucune sorte avec les civils, particulièrement les femmes. Il ne veut risquer de perdre ses galons et de passer entre deux rangées de soldats pour se faire tanner le dos à coup de baguette de bourrage. Il pense d’abord la reconduire à la porte, puis se dit, la jeune femme ...
... étant fort appétissante, que s’il la joue finement, il a peut-être une chance d’en obtenir quelques faveurs. Il se lance :
— Il y a le règlement ! D’un autre côté te laisser aller embrasser ton mari ne va pas nous faire perdre la guerre.
— Vous me laissez y aller ! Merci, monsieur l’officier.
— Attend ! Pas si vite. Il y a quelque chose qui m’ennuie.
— Quoi ? demande Patricia, l’enthousiasme refroidi.
— C’est pour toi que je suis ennuyé.
— Pour moi ? réplique la jeune femme interloquée.
— Ben oui. Tu vas entrer, tu vas embrasser ton mari en coup de vent. Avec le monde qu’il y a là-dedans ce ne pourra guère aller plus loin et tu repartiras. Tu vas partir avec un simple baiser. C’est cela qui m’ennuie.
— Ce serait déjà formidable de le voir quelques minutes.
— On dit ça, on dit ça, mais tu vas t’accrocher à lui, tu en voudras plus et ton mari aussi, à n’en pas douter. Vous aurez du mal à résister. Vous chercherez un coin tranquille. Il y aura des jaloux. Ça se saura d’autres voudront aussi que leur femme viennent et qui aura des ennuis après c’est bibi.
— Non ! Je vous assure.
— Ce qu’il faudrait quand tu verras ton homme, c’est que tu ne sois pas tentée et que tu puisses lui résister.
— Je le ferais ! Je vous jure…
— Les serments n’engagent que ceux à qui on les a faits. Il faut que je sois sûr.
— Je vous donne ma parole.
— Les paroles s’envolent comme plume au vent.
Patricia est désespérée. Elle ne voit pas d’issue après avoir pensé que le sergent allait la ...