1. Occupation et conséquences


    Datte: 08/08/2018, Catégories: fhh, humilié(e), chantage, Oral double, Partouze / Groupe historique, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... l’attention. Audrey préférerait qu’elles restent ensemble, mais se rend à l’avis de son amie. Elle se change rapidement tandis que Patricia regarde ce qui se passe dans la cour. Une fois en tenue, elle dit à Patricia de l’imiter pendant qu’elle surveille, mais cette dernière lui dit qu’il y a du mouvement dans la cour, qu’elle en profite pour y aller de suite et de la pousser dehors. Audrey baisse la tête et se dirige vers le bâtiment principal en attrapant un sac d’oignon et en se joignant à un groupe de soldat. Elle franchit la porte sans problème et dépose le sac avec les autres.
    
    Elle se dirige ensuite vers le lieu où attend le sergent. Celui-ci y est. Il est surpris de voir la femme du Capitaine Highjone, la femme de son commandant n’ayant pas prévenu de sa participation à l’aventure. Devant son étonnement, Audrey lui explique qu’elle n’a pas voulu laisser son amie se lancer seule dans cette folle entreprise. Elle préfère passer sous silence que si elle y participe, c’est avant tout pour rejoindre son amant Canfrais. Le vieux soldat grommelle un peu, dit que les femmes sont folles et qu’il a bien eu raison de ne pas s’en encombrer.
    
    De son côté, Patricia, une fois qu’elle a vu Audrey passer la porte, se dirige vers le fond de l’appentis. Elle prend l’uniforme délace son corsage et se maudit. Dans sa précipitation, elle a oublié de serrer sa poitrine dans une sangle de tissu et en plus, elle a oublié de la prendre alors qu’elle l’avait préparée. Elle va devoir ...
    ... prendre le risque de faire sans, en espérant que personne ne la regarde de trop près. Elle reprend le délaçage, quand une idée lui vient. Elle va confectionner une bande avec son jupon. De toute manière, elle devait l’abandonner. Elle le retire prestement et se met à l’ouvrage. Celui-ci se révèle malaisé, car elle n’a ni ciseaux ni couteau et le tissu est solide. Elle doit s’aider des dents et tirer de toutes ses forces. Cela vient, le bruit de déchirure n’est pas discret et un soldat Canfrais l’entend. Intrigué, il entre et reste pantois devant le spectacle qui s’offre à lui. Il ne comprend pas ce que fait cette femme corsage ouvert à déchirer ses vêtements. Il demande :
    
    — Que faites-vous ?
    
    Patricia sursaute et tétanisée ne répond rien. Le militaire s’avance, il aperçoit alors l’uniforme. Il saisit Patricia par le bras en lui demandant :
    
    — Qu’est-ce que c’est que ça ?
    
    Elle réfléchit fébrilement. Elle trouve que la moins mauvaise réponse est :
    
    — Mon mari est prisonnier. Je voulais entrer pour l’embrasser une dernière fois avant qu’il soit emmené.
    — Tu te fiches de moi, tu voulais le faire évader !
    — Non ! Je voulais simplement lui dire au revoir.
    — Et pourquoi tu déchires tes jupons ?
    — Pour avoir du tissu pour bander mes seins, qu’on ne les voit pas trop sous l’uniforme.
    
    Le soldat l’entraîne vers la sortie en disant :
    
    — Nous allons voir le lieutenant. Il tirera ça au clair.
    
    Patricia voit son plan s’effondrer. Quand on l’interrogera, elle devra bien dire ...
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