1. Occupation et conséquences


    Datte: 08/08/2018, Catégories: fhh, humilié(e), chantage, Oral double, Partouze / Groupe historique, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... vont partir incessamment et Dieu sait quand elles pourront les revoir.
    
    Audrey a une idée. Il faut qu’elles embarquent. Le problème est qu’il ne leur sera pas autorisé de le faire. Conséquence, il faut qu’elles le fassent subrepticement, mais comment procéder ? Audrey a une illumination. Elles vont se déguiser en soldat et se faire embarquer avec eux. Elles commencent par trouver des uniformes, puis vont roder du côté de l’endroit où sont retenus les prisonniers. La porte est bien évidemment fermée et gardée. Elles commencent à désespérer quand la chance leur sourit. Un vieux sergent, les bras encombrés de dossiers, sort escorté par des soldats Canfrais. Il connaît le mari de Patricia depuis qu’il est petit, il servait déjà sous son père. Ils prennent la direction de la caserne. Les deux femmes se précipitent pour arriver avant eux. La fortune continue d’être avec elles. Les Canfrais laissent entrer Patricia dans la pièce où le sergent range les papiers et il est seul. Elle lui expose son projet. Il tente de l’en dissuader, lui faisant ressortir tous les aléas et les dangers de leur plan. Elle ne se laisse pas dissuader et s’efforce de la convaincre de les aider et fait appel à son bon cœur. Il finit par se laisser fléchir.
    
    Il lui expose que les officiers et la troupe sont enfermés dans deux lieux distincts. Les premiers sont trop peu nombreux pour qu’elle puisse s’intégrer à leur groupe sans que les Canfrais s’en aperçoivent. Il faut donc qu’elle se joigne à la ...
    ... troupe. Celle-ci est retenue dans bâtiment entouré d’un enclos avec des écuries et des hangars, les gardes sont très sourcilleux pour les sorties, mais moins regardant pour les entrées. Or nombre de personnes sont admises à pénétrer dans l’enceinte pour amener des vivres, de l’eau ou des fournitures diverses. Il faut qu’elle se mêle à elles. Une fois dans la cour, elle va dans un appentis désert, se change et va se mêler aux soldats de corvée. Il lui dessine un plan succinct et lui indique l’endroit du bâtiment où il se tiendra pour l’accueillir. Il va pour lui donner d’autres instructions et conseils, mais l’entrée d’un garde qui sa pinte terminée finit par trouver le temps long l’en empêche. Il peut seulement lui glisser de faire vite.
    
    Sitôt le sergent Quincannon reparti avec son escorte, Patricia va rejoindre son amie. Toutes deux se changent pour mettre des vêtements plus ordinaires et font deux balluchons des uniformes. Elles reprennent ensuite le chemin de ce qui sert de prison. Elles doivent patienter près de deux heures avant que des chariots de vivre ne se présentent. Elles réussissent à circonvenir un conducteur, moyennant quelques pièces et en lui racontant qu’elles veulent voir une dernière fois leur mari, pour qu’il les fasse pénétrer dans l’enclos. Elles déchargent quelques caisses et réussissent à se glisser dans un hangar désert. Patricia dit à sa compagne qu’il vaut mieux qu’elles sortent l’une après l’autre avec quelques minutes d’écart pour ne pas attirer ...
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