1. Pédagogies appliquées


    Datte: 20/12/2021, Catégories: fff, fagée, jeunes, Inceste / Tabou profélève, amour, Masturbation caresses, intermast, Oral lettre, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... branlent les jeunes chattes. Sa bouche alterne de celle de Viviane à celle de Clémence. D’indistincts geignements et des soupirs accompagnent chaque va-et-vient, d’où s’échappe un pêle-mêle de oui, de ah, de oh et de mon Dieu lorsqu’une caresse de ta disciple se fait plus incisive.
    
    Les sursauts nerveux de Marie-Blanche se succèdent. Un brusque recul de la tête de Sandrine dénonce l’éruption de l’orgasme. Pas de sa plénitude.
    
    Tu supplées à l’abandon de la vulve éplorée. Tu pinces une nymphe entre tes lèvres, tu l’étires et la relâches, tu la gobes et la suces. Tu stimules l’émulation. Deux bouches saisissent maintenant les petites lèvres, les quittent pour les grandes, les reprennent et les mâchouillent. Deux langues s’allongent et se disputent le vagin, s’entendent pour lécher et fouiller, coopèrent autour du puits d’amour, partagent les ondées qui pulsent de la source. Les plaintes de Marie-Blanche fusent continûment sous votre double assaut.
    
    Vos deux culs cambrés nous narguent, Déborah et moi. Nos baisers et nos caresses tendres ne nous suffisent plus. Je tourmente sa chatte, elle pose ses mains sur la mienne. Ses doigts se nichent dans mes aines, les miens trouvent son con. Elle presse les bords de ma fente, je fouille la sienne. Ses paumes enserrent mes lèvres, je plante deux doigts entre les siennes. Elle frictionne ma vulve, je croche dans la sienne. Elle écrase mes nymphes et mon clito, mon pouce enfonce son bouton. Un liquide chaud jaillit contre mes ...
    ... fesses, je gémis, elle râle. Notre brutale jouissance s’apaise.
    
    Là-bas, sur la couche lubrique, trois chants d’amour s’élèvent à l’unisson. Trois orgasmes planent. Viviane et Clémence se laissent emporter par celui de Marie-Blanche, que Sandrine et toi soutenez de la bouche et des doigts. Vos fesses dansent devant nous, se disjoignent et se closent, exhibent ou éclipsent la rosette pâle et la rosette brune, exaltent ou dissimulent l’abricot tendre et la mangue juteuse. L’appel de ton cul est trop pressant, je transgresse notre pacte tacite. Je fuis les bras de Déborah, je tombe à genoux. J’embrasse le sillon, je baise l’étoile sombre. Je goûte au plus secret de tes saveurs intimes.
    
    — Coquine !
    
    Juste une exclamation, sans cesser de tarauder le con de Marie-Blanche. Mais ce seul mot de toi, c’est mon absolution…
    
    Mais au fond, comment sais-tu que c’est moi ? Est-ce que Déborah aurait déjà eu droit à ce privilège ? Qu’importe ! Je peux sans scrupule fourrer mon nez entre tes fesses, laper ta mouille au fond de ta moule, me gorger enfin de ce dont je rêvais. Et tant pis si je ne l’imaginais qu’à deux !
    
    Une main douce me caresse le bas des reins, une épaule tendre s’appuie à la mienne, une tête brune aborde le fessier rose qui remue près de moi. Un petit cri de surprise vite étouffé. Sandrine a bien trop à faire entre les cuisses de sa maîtresse pour se préoccuper d’où se pose la bouche de Déborah. Dans la cacophonie bruyante des plaintes de joie, j’entends ta voix qui la ...
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