1. Pédagogies appliquées


    Datte: 20/12/2021, Catégories: fff, fagée, jeunes, Inceste / Tabou profélève, amour, Masturbation caresses, intermast, Oral lettre, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... halètements de Marie-Blanche montent en intensité.
    
    — Doucement, petite gloutonne ! Il n’y a pas que le vagin et le trou à pipi dans une chatte, tu oublies quelque chose, gourmandes-tu ton élève. Il ne faut pas négliger le clitoris, ma puce ! Recule-toi un peu… D’abord, on pose le pouce là, juste au-dessus de la fente, à la base du capuchon, et on tire vers le haut. En même temps, on met un doigt de chaque côté et on presse… Et le bouton ressort bien, tu vois. C’est ce que Chantal a fait quand elle t’a examinée, tu te souviens ? Après, on peut toucher du bout de la langue : hop ! Bien sûr, il faut les deux mains, ou se faire aider par une copine.
    
    Ton petit rire succède au petit cri de Marie-Blanche qui, sentant son bourgeon toujours exposé, espère ou craint maintenant tes commentaires.
    
    — Une belle olive ! N’est-ce pas, Sandrine ? Oui, un bien joli bonbon, apprécies-tu, tout gonflé et tout dur. Laisse-moi le goûter encore une fois… Hum ! Vraiment bon à sucer ! Attends. Tout nu comme ça, ce serait vite insupportable pour Madame. On va lui remettre son petit capuchon… Allez, ma puce, à toi. Tu fais exactement pareil que pour le téton, mais plus délicatement, OK ? Commence en douceur, progressivement… Tu sentiras toi-même si Madame a envie de câlins plus vigoureux.
    
    La bouche de Sandrine remplace la tienne. Son popotin remue sous la contrainte qu’elle s’impose pour refréner son ardeur à mignoter le clitoris de sa maîtresse. Elle s’applique avec constance pendant que ...
    ... tu promènes tes lèvres et ta langue sur l’intérieur de la cuisse, du genou au pli de l’aine. Le corps de Marie-Blanche tremble sous cette combinaison de caresses. Sa poitrine se soulève et s’abaisse spasmodiquement. Ses gémissements suivent la cadence hâtive des expirations. Sa tête dodeline de Clémence à Viviane, de Viviane à Clémence, et, vers celle-ci, soudain se bloque. Les yeux sont clos, mais la bouche entrouverte quémande.
    
    Clémence cède généreusement à la supplication, elle y pose la sienne. Affectueux, langoureux, passionné, son baiser s’éternise, boit les plaintes de plaisir, déclenche des mouvements incontrôlés des mains de Marie-Blanche sur les sexes qui les gardaient au chaud. Viviane tressaille puis s’abandonne, trop excitée pour s’indigner. Clémence lâche un bras qui ne résiste plus, pour cajoler un sein qui le réclame. Le « oui » de bonheur de Marie-Blanche interrompt l’embrassade. Les lèvres libérées de Clémence viennent aspirer un téton. La bouche esseulée de Marie-Blanche en cherche une autre, celle de Viviane.
    
    Viviane ne se refuse pas. Il n’y a plus dès lors ni de filles ni de dame, plus d’étudiantes ou de bourgeoise, plus de distance ni de parenté. Il n’y a plus que trois femmes embrasées l’une par l’autre, enlacées et embrassées dans la fureur de leurs désirs croissants. Les langues des gamines volent des lèvres aux tétons de Marie-Blanche. Quand une bouche cesse d’aspirer un téton, une main la remplace pour le vriller. Les mains de Marie-Blanche ...
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