Pédagogies appliquées
Datte: 20/12/2021,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
Inceste / Tabou
profélève,
amour,
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
lettre,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... guide et l’éduque encore.
— Mouille tes doigts, ma puce. Mets-en deux dans le vagin, attention à tes ongles… Deux doigts, oui, à côté des miens… Doucement… Enfonce les bien, jusqu’au bout… Bouge-les, pour masser en dedans… N’arrête pas de lécher le clito… C’est bien… Replie l’index vers le haut, comme moi… Il y a de petites ondulations… Tu les sens ? Caresse-les avec le bout du doigt… n’appuie pas trop, tu vois comme elle réagit quand tu les touches ?
Le ventre de Marie-Blanche se contracte à chaque contact de vos index sur son point le plus intense. Son bassin sursaute par saccades, sa gorge s’enroue, l’air lui manque. Tu obliges Sandrine à continuer.
— Pose ton pouce sur le petit trou… Mais oui, n’aie pas honte ! C’est mouillé, c’est doux, ça palpite, mais ce n’est pas sale ! Tu verras : si elle aime, son petit trou viendra tout seul sur ton pouce… Bon, garde le pouce sur le périnée, si tu préfères, et laisse-moi faire… Recommence à masser la chatte, dedans et dehors, l’index et le pouce… Oui. Et moi, je vais serrer à la fois le vagin et l’anus. Tu vas voir…
Le bref intermède d’explications a redonné son souffle à Marie-Blanche. Elle recommence à haleter quand les massages intimes reprennent. Mais quand tu pinces entre les doigts son con et son cul, son corps se cambre brutalement. Un brusque hurlement jaillit, se maintient quelques secondes dans l’aigu, puis s’atténue et s’achève en borborygmes.
— Hou ! Hou, houuuuuuuuuuuuu…. Houhou ! Houhou, ...
... houhou…
Elle retombe, inerte, en sueur, les doigts encore plantés dans la chatte des filles presque aussi amorphes qu’elle. La pensée vide, elle n’a pas la moindre conscience qu’elle vient de branler sa petite cousine. Ses cuisses sont agitées de tremblements spasmodiques. Elle peine à retrouver une respiration régulière, les yeux dans le vague.
Je n’ai pas l’esprit à m’amuser de la curieuse péroraison de son chant d’amour. Tu viens de jouir sur ma bouche, heureuse du succès de ton pouvoir autant que de la profondeur de mes caresses. J’analyse avec délectation les saveurs de ta cyprine. J’en détecte les notes de vanille et de muscade, les touches poivrées, les traces ténues de sudations diverses. J’en apprécie l’onctuosité tenace. Bref, je la déguste avec un bonheur indicible.
Avant que tu ne tournes vers moi une tête radieuse d’un sourire mouillé, un émoi discret suivi d’un claquement de langue satisfait nous avertissent de l’acmé de Sandrine sur les lèvres de Déborah. Je ne résiste pas à l’envie de prendre sa bouche pour échanger le goût des sucs recueillis aux sources de l’élève et de sa formatrice. Nous les mélangeons sans hâte sous ton œil malicieux tandis que tu enlaces affectueusement notre benjamine tout étonnée de l’intensité du plaisir qu’elle vient de donner.
Marie-Blanche redescend lentement de son long voyage dans un ciel étoilé de bonheurs. Elle en garde une pâle figure trouée d’un regard vaporeux qu’elle promène autour d’elle sans paraître comprendre les raisons ...