1. Pédagogies appliquées


    Datte: 20/12/2021, Catégories: fff, fagée, jeunes, Inceste / Tabou profélève, amour, Masturbation caresses, intermast, Oral lettre, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... Marie-Blanche. J’espère que cela ne vous dérange pas ?
    — Tant pis, s’il est trop petit, nous nous serrerons, dis-je sur un ton faussement résigné.
    — Il est assez grand pour deux couples, suggères-tu. Ne voulez-vous pas le partager avec nous, ma chérie ?
    — Nous partageons déjà une pièce intime, réplique-t-elle en riant.
    — Raison de plus ! Nous partagerions tout… sous-entends-tu.
    — Cruelle Aline, vous tenteriez une Mère Abbesse ! Hélas, les meilleures choses ont une fin, soupire-t-elle. Il me faut dormir pour être à la hauteur de la situation demain… Mais avant de nous séparer, un baiser pour nous souhaiter la bonne nuit, j’y tiens !
    
    Elle nous étreint chacune avec la passion d’une nouvelle convertie. Notre hôtesse, si distinguée il y a peu, s’est muée en ardente prosélyte de l’amour féminin. Sa bouche nous butine à tour de rôle. Je porte encore tes saveurs sur le menton, comme Déborah celles de Sandrine. Marie-Blanche retrouve les siennes sur tes lèvres. Elle en semble ravie, autant que des traces de tes fragrances qu’elle s’offre en m’embrassant. Le manque d’expérience n’enlève rien à la chaleur de son baiser. Il exprime une telle affectueuse tendresse que le lui rendre me fait mouiller. Elle témoigne des mêmes sentiments à Déborah en m’adressant un clin d’œil de complicité pour la caresse que je n’ai pu retenir sur ma chatte. À moins que ce ne soit pour le plaisir de discerner l’avant-goût des parfums de Sandrine…
    
    Elle nous quitte à regret, sans nous prier d’être ...
    ... sages, doutant qu’elle puisse l’être elle-même, et referme discrètement la porte. Je m’effondrerais tout de suite sur notre couche si tu ne m’arrêtais le temps de replier soigneusement le dessus-de-lit. Un drap de lin fin teinté de vert pâle nous accueille. Déborah le rabat en m’invitant m’étendre la première. J’y consens volontiers après une dernière question.
    
    — Douche demain matin ?
    — Douche demain matin, confirmes-tu en riant.
    
    Je me laisse aller sur le dos, bras et jambes en croix sans pouvoir toucher les bords de ce lit royal. Déborah pose ses fesses à ma gauche. Tu t’assois jambes croisées à ma droite. Mes mains cherchent la tiédeur de vos cuisses pour une tendre caresse lorsque la porte s’ouvre à nouveau sur Marie-Blanche. Elle a enfilé un léger déshabillé qu’elle a négligé de fermer.
    
    — Pardonnez-moi, dit-elle en nous couvant du regard. Je descends mettre un mot pour Germaine. À quelle heure voulez-vous qu’elle vous réveille ?
    — 7 h 30 serait très bien. Merci, ma chérie, réponds-tu en t’étirant.
    — Toutes les trois ?
    — Oui. Ces dames iront courir pour se mettre en forme. J’aurai tout mon temps pour prendre une douche, expliques-tu.
    — C’est l’heure à laquelle je prends la mienne. Je vous laisserai la priorité, propose-t-elle.
    — Pourquoi pas ensemble ?
    — Avec plaisir ! À demain, dormez bien, conclue-elle en s’éclipsant.
    
    Je me tourne amoureusement vers toi quand tu te couches. Déborah s’allonge contre mon dos en m’enlaçant. Tu me prends dans tes bras et tu ...