1. Pédagogies appliquées


    Datte: 20/12/2021, Catégories: fff, fagée, jeunes, Inceste / Tabou profélève, amour, Masturbation caresses, intermast, Oral lettre, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... toutes fatiguées. Une bienheureuse fatigue, certes, grâce à vous, mais fatigue tout de même. Demain serait beaucoup mieux pour cette petite cérémonie.
    
    Le dépit de Sandrine est immense. L’intensité de l’excitation lui donnait courage pour sauter le grand pas. La stimulation retombée, elle s’inquiète. Trop de pensées tournent dans sa tête, de la frustration du refus à l’incertitude de son réel désir. Tu la prends contre toi pour la réconforter.
    
    — Ce n’est pas quelque chose qu’on fait à la légère, petite chérie. C’est un moment particulier, très beau si on prend le temps de l’apprécier. Je crois que c’est important pour toi, parce que c’est plus qu’une preuve de confiance que tu viens de donner à ta maîtresse. C’est une preuve d’affection, d’amour même, n’est-ce pas ?
    — Oui, c’est vrai, admet-elle au bord des larmes. Je l’aime depuis qu’elle m’a prise à son service.
    — Tu es encore jeune, nuances-tu, mais c’est très bien. Demain, je te promets une grande fête d’amour. Tu auras tout ce que tu désires, au-delà de ce que tu imagines, crois-moi ! Si demain matin tu veux toujours offrir ton pucelage à Madame, dis-le-moi et tu seras comblée.
    
    C’est Viviane qui cette fois nous surprend :
    
    — Ma tante, si vous et Madame Aline le voulez bien… commence-t-elle.
    — Aline suffira, pour ce soir, souris-tu.
    — Dis-moi tu, maintenant, sourit à son tour Marie-Blanche. Mais pas « tata », s’il te plaît ! Appelle-moi par mon prénom.
    — Merci ma tante, reprend Viviane emportée par ...
    ... l’habitude. Euh, merci Marie-Blanche. Je voulais dire, si toi et Aline êtes d’accord, Sandrine peut coucher avec nous cette nuit. Clémence et moi l’aiderons à tenir jusqu’à demain, sans perdre patience, ni rien d’autre…
    — Oh, moi, je veux bien, approuve Marie-Blanche en te consultant du regard. Sandrine peut dormir avec vous, je n’ai pas besoin d’elle ce soir.
    
    Ni une, ni deux, les deux copines entraînent Sandrine sans lui demander son avis et s’enfuient gaiement en nous envoyant des bisous en guise de bonne nuit.
    
    — Tu verras, Sandy, tu vas passer une nuit de rêve, assure Clémence en passant la porte.
    — Passez la nuit que vous voulez, mais n’oubliez pas l’heure du réveil, leur rappelles-tu.
    
    Le départ des trois jeunesses crée brusquement un silence. Marie-Blanche semble l’avoir souhaité, car elle attend que le bruit d’une porte fermée résonne faiblement dans le calme de la maison pour reprendre la parole.
    
    — Je n’ai entendu qu’une porte, je crains qu’elles n’aient escamoté la toilette, fait-elle remarquer en souriant. Mais j’ai un autre souci, Aline. Je ne sais pas comment répondre au vœu de Sandrine. C’est délicat de déflorer une jeune fille.
    — Je serai là, ma chérie. N’auriez-vous pas un petit godemiché dans vos tiroirs ?
    — Non, hélas ! Je n’ai jamais cru devoir m’en procurer…
    — Vos doigts vous suffisent, sans doute, ris-tu. Et votre vieille gouvernante, Germaine ? Demandez-lui, qui sait !
    — Elle n’est pas si vieille, se récrie Marie-Blanche, juste quelques années de ...
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