1. Pédagogies appliquées


    Datte: 20/12/2021, Catégories: fff, fagée, jeunes, Inceste / Tabou profélève, amour, Masturbation caresses, intermast, Oral lettre, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... plus que moi.
    — Pardonnez-moi ! Je n’ai pas eu l’occasion de la rencontrer, je suis désolée. Mais raison de plus de lui demander. En lui expliquant la raison, pourquoi pas ? De toute façon, ce sera un plaisir et un honneur pour moi de vous aider.
    — Merci, Aline chérie. C’est bon. Je lui poserai la question demain, soupire-t-elle. Pour l’heure, je vais me coucher, en oubliant la toilette, moi aussi, si vous me le permettez. Il est vraiment très tard, et vous m’avez délicieusement épuisée…
    
    Sa sincérité et son bonheur sont évidents. La fatigue aussi, comme pour nous. Après tout, il est minuit largement passé. Compliments retournés et autorisation accordée, je suggère que nous risquons de faire également l’impasse sur la salle de bain.
    
    — Germaine en sera quitte pour mettre en route une lessive de plus, constates-tu.
    — Je pense qu’elle en ajoutera plus qu’une, rit Marie-Blanche. Oh, mais où ai-je la tête, Sandrine devait vous mener à votre chambre. Venez, je vous y conduis. C’est près de la mienne, ajoute-t-elle en se levant prestement.
    
    Elle ne juge pas utile de se couvrir pour si peu de trajet. Abandonnant royalement sa lingerie là où elle est tombée et son salon privé en désordre, elle nous précède d’un pas alerte dans le dédale de sa demeure. J’imagine le pittoresque de cette procession féminine, pieds nus, culs nus, et le reste à l’avenant, dans la pénombre des couloirs et des escaliers. Arrivées au premier étage, elle nous indique les commodités communes, ...
    ... ainsi qu’elle nomme les toilettes, et une grande salle de bain, commune elle aussi. À gauche du palier s’ouvre un petit hall meublé de deux fauteuils, d’un chiffonnier et de rayonnages abritant quelques livres et bibelots sur les murs tapissés de pastels.
    
    Cette reposante antichambre présente deux larges portes en vis-à-vis et une plus petite au fond. Marie-Blanche nous désigne à gauche celle de sa chambre et en face celle de la nôtre, qui donne sur le parc comme elle se plaît à le souligner. La troisième est celle d’un cabinet de toilette accessible directement de chaque chambre. Il sert aussi en cas d’un petit besoin dans la nuit selon l’élégante précision qu’elle nous confie.
    
    — Votre chambre, mesdames… annonce-t-elle théâtralement en poussant les battants.
    
    La pièce est vaste et sombre. On devine une vaste porte-fenêtre et à sa droite, contre le mur, une coiffeuse surmontée d’un haut miroir. Le commutateur fait surgir à gauche le lit immense, en 180 sinon plus, encadré par les tables de chevet intégrées à la tête de lit, et agrémentées de lampes de bronze dont les abat-jours diffusent une lumière tamisée. Une armoire à trois glaces, de taille imposante, s’appuie à bonne distance du lit sur le mur opposé à la porte-fenêtre. Un petit fauteuil et deux ou trois chaises où se trouvent nos affaires complètent l’aménagement. Sièges et dessus-de-lit molletonné s’assortissent à la tapisserie en camaïeux de verts.
    
    — Je n’avais prévu qu’un seul lit, s’excuse malicieusement ...