Madame l'Ambassadrice - Histoires de Sexe

Madame l'Ambassadrice

... tout sorti : plugs, lubrifiants, lubrifiant avec anesthésique, c’est mieux pour la première fois.
— Oh misère !… Mais comment on se sert de tout ça ?
— On a le temps, si tu permets, je vais te préparer. Déshabille-toi… Oh putain, la chance ! Comment t’es gaulée, ma salope. Je me doutais que tu n’étais pas mal, mais à ce point… Chapeau ! Le mec doit être fou de toi.
— Je ne sais pas, en tout cas il me baise bien et j’aime ça. Il a un… machin très gros.
— Aïe ! Pas l’idéal pour débuter. Allez, à quatre pattes !

Marie-Chantal se délectait déjà à la pensée de torturer une copine dont elle était un peu jalouse. Elle sentit qu’elle commençait à mouiller, d’autant que le spectacle des fesses offertes de sa copine ne la laissait pas totalement indifférente.

— Tu sais que tu as un cul sublime, toi ? Tu m’en ferais devenir gouine…
— Déconne pas, je t’en prie, vas-y. Et fais doucement.

Une perle d’onguent sur le doigt, Madame de Latrick titilla la rosette de son amie, la vit palpiter et poussa son doigt un peu plus loin.

— Dis donc, menteuse. Tu ne l’as jamais fait, mais c’est rentré comme dans du beurre !
— Je te jure que non. Juste hier il y a rentré sa langue… et un doigt de temps en temps…
— Oh le pervers ! Si tu me l’avais dit avant, j’aurais commencé comme ça aussi. Maintenant, si je m’anesthésie la langue, je ne pourrais plus parler pendant une demi-heure. Allez, on va en mettre deux.

Le travail continua, passant de deux doigts de la même main à deux doigts ...

... de deux mains afin d’étirer l’orifice dans tous les sens, doucement. Ça venait bien, mais…

— Hé ! Je vois des gouttes couler sur tes cuisses. Mais tu mouilles, ma parole !
— Ben… si je t’en faisais autant…
— Pas la peine, je ruisselle déjà.
— Rhôôô ! Ce qu’on est salope, tout de même.
— Écoute, pour une fois c’est un plaisir pas cher.
— C’est vrai. Faut pas trop le dire, nos hommes nous restreindraient à ça.

Marie-Chantal poursuivit son travail avec application, rentrant trois doigts désormais. Elle était troublée de voir son amie mouiller abondamment sous ses attouchements, troublée par la douceur et la beauté de ce cul offert, cette touffe cuivrée, l’abandon total de cette jeune femme entre ses mains. Elle passa à des choses plus sérieuses et sortit un gode vibreur, « son amant de plastique » comme elle l’appelait, et l’enfila dans l’anus ouvert. La donzelle gloussa, et se mit à geindre lorsqu’elle déclencha la rotation et la vibration haute vitesse tout en faisant entrer et sortir l’engin. Fleur mouillait de plus belle.

— Localement c’est anesthésié, mais les vibrations se transmettent, si tu continues je vais jouir.
— Mais vas-y, jouis, ma belle, j’en serai ravie…

N’y tenant plus, Madame de Latric passa un coup de langue sur la chatte débordante d’une mouille épaisse au goût acidulé. Ce coup de langue déclencha chez elle un afflux de sécrétions qui l’incita à recommencer, n’épargnant pas, cette fois-ci, le clitoris gonflé.

— Marie ! Mais qu’est-ce que ...