Madame l'Ambassadrice - Histoires de Sexe

Madame l'Ambassadrice

... tu fais ?
— Je me régale. Tiens, toi aussi, goûte et tu vas voir…

Disant cela, elle ôta sa culotte et plaça son bassin sous le nez de sa copine, sans jamais cesser de lui ramoner le fion avec son engin de malheur. Madame De Ricin aurait eu mauvaise grâce à refuser, compte tenu du service rendu. À son tour elle passa une langue rapide sur la chatte de son amie.

— C’est vrai que ce n’est pas mauvais, et terriblement excitant, ajouta-t-elle en mouillant derechef.

C’est ainsi que les deux copines se retrouvèrent tête-bêche en train de se bouffer la chatte, pendant qu’un gode zinzinait dans le trou de balle de l’une. Un orgasme plus tard, Marie-Chantal déclara qu’il était temps d’équiper Fleur d’un plug qui allait maintenir son anus étiré jusqu’à son rendez-vous.

— Voici le plus gros dont je dispose. Je te l’enfile…
— Ouch !
— Ah ben oui, c’est gros, mais tu m’as dit qu’il te fallait le gros calibre. Tu as quoi ce matin au Centre ?
— Pédicure et manucure.
— Alors ça va, tu peux le garder. Et même, tu dois le garder. On se retrouve pour déjeuner ?
— Bien sûr, c’est moi qui t’invite.

La démarche de Madame De Ricin avait soudain quelque chose d’hésitant. De même, lorsqu’elle s’assit sur le fauteuil de la manucure, elle émit un petit « Hou ! » qui inquiéta la praticienne :

— Quelque chose ne va pas, Madame De Ricin ?
— Non, non, ce n’est rien. Je… je suis juste tombée sur le coccyx. C’est douloureux.

Au déjeuner, elle ne savait plus comment se tenir. ...

... Jambes croisées, posée sur une fesse, elle dit à sa copine :

— L’effet de l’anesthésique est passé, je déguste !
— Va en remettre un peu.
— Ah non, je tiens à tout ressentir ! Tu te rends compte que c’est une défloration, j’étais vierge, moi, de ce côté-là.
— Comme il te chante. Mais garde les deux pommades, on ne sait jamais.

Le pire fut certainement la montée des escaliers pour accéder à la chambre de son amant. Elle se demanda, une fois sur le palier, s’il fallait ou non retirer son plug avant. Puis elle renonça, décidée à lui montrer ses efforts. Le géant noir la reçut avec sa courtoisie habituelle, mais tout de suite lui demanda de procéder à un effeuillage qui lui donne envie d’elle. Elle s’exécuta avec quelques maladresses de débutante, protestant pour la forme qu’elle était une femme mariée et fervente catholique.

— Ha-ha-ha ! La belle affaire, répondit-il. N’êtes-vous pas là pour vous faire sauter, belle petite salope ?

Il n’avait pas tout à fait tort. Elle se tint face à lui jusqu’au dernier moment, jusqu’au glissement langoureux de la petite culotte déjà collante de mouille. Alors elle se retourna en se baissant et en disant :

— Surprise ! Je me suis préparée pour vous. Vous serez doux, c’est la première fois…
— J’admets que pour une première fois, je n’ai peut-être pas l’engin ad hoc. Mais j’admire les efforts que vous avez faits et qui méritent d’être récompensés. Aujourd’hui, je vous baiserai sans retenue, sans retenir ma précieuse semence dont je ...