L'Education Sentimentale
Datte: 08/08/2018,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Auteur: bybobober, Source: Literotica
... et un corps que je connaissais.
J'appris beaucoup de choses à ces lectures, à vrai dire, tout ce qu'un jeune garçon doit savoir ; en théorie en tout cas.
Je devais approcher de mes quatorze ans et mes jeux avec Gérard ne me satisfaisaient plus comme avant.
Pourtant nous avions franchi des étapes dans notre quête du plaisir : nous nous sucions maintenant la queue avec une délectation et un savoir croissants.
J'aimais, lorsque nous étions à la piscine, nu dans une cabine, lui prendre la bite en bouche et je me souviens, encore aujourd'hui, de ce sexe très dur au goût si caractéristique, dont le gland se décalottait de lui-même, tellement il se tendait. Je revois cette couronne duveteuse que j'avais devant les yeux et que je frôlais de mes lèvres et de mon nez lorsque j'enfonçais sa bite dans le fond de ma bouche.
Nous n'allions pas jusqu'à éjaculer dans notre gorge à cette époque, car cela nous dégoûtait, enfin, nous n'osions pas nous avouer que nous souhaitions parfois le contraire, et lorsque notre plaisir était suffisant, nous nous achevions « à la main », comme nous disions.
Je l'ai dit, cela ne nous suffisait plus!.
Dès que je le pouvais, je me glissais dans la chambre parentale et je me caressais pendant de longues minutes enlisant, soit des lettres que je ne connaissais pas encore, soit des nouvelles revues que mon père achetait chaque mois, et qui venaient réapprovisionner le stock.
La plupart du temps, je ne tardais pas à cracher des flots de ...
... sperme dans ma main que j'essuyais prestement dans mon mouchoir ou que je léchais avec gourmandise.
Depuis un certain temps, et surtout depuis que j'avais lu ces lettres, je ne regardais plus mes parents avec les mêmes yeux.
Plus particulièrement ma mère, d'ailleurs ; je l'admirais évidemment comme tout adolescent admire sa mère et je la considérais comme le centre du monde l'âtre qui m'était le plus cher, mais, je m'en rend compte, maintenant, mon regard s'était fait plus pénétrant, plus incisif, plus fouineur peut-être aussi.
Je la trouvais très jolie, très belle ; elle l'était d'ailleurs, à en juger par la manière dont les hommes la dévisageaient, en rue.
Je possédais suffisamment de références, de par mes lectures spécialisées , pour savoir que ma mère était « bien faite » comme l'on dit.
Très brune, elle était mince, mais pas trop, se jambes étaient très lisses et superbement galbées, et j'imaginais qu'elle devait être assez poilue, car j'avais remarqué, dans la salle de bain, tout un équipement spécialement conçu pour le rasage des femmes et j'en avais tiré les conclusions avec l'aplomb et les certitudes qui caractérisent un jeune homme de mon âge.
C'était surtout ses seins qui m'impressionnaient. Non qu'ils étaient démesurément gros, mais, plutôt parce qu'ils représentaient la partie de la femme que j'avais pu le mieux découvrir dans mes expéditions livresques et avec laquelle je pouvais, par conséquent, établir les mieux des comparaisons.
Les seins ...