Trente minutes (2)
Datte: 30/11/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Zeltron, Source: Xstory
... commençais vraiment à avoir mal aux genoux.
Au moment de s’y rendre, je fus agréablement surprise de son endurance, pour un garçon qui n’avait pas couché depuis des mois ! Il ne fallait pas s’en plaindre : ça me manquait aussi.
Encore un peu groggy au moment de se glisser dans les draps, je laissai mon ami s’occuper du rapport pour un divin missionnaire, plein de tendresse et une certaine forme de passion. Je le voyais m’admirer pendant la pénétration, et Dieu, qu’est-ce que ça gonflait l’ego ! Il savait tellement bien me caresser, me prendre les cuisses ou la poitrine.
Pour continuer d’avoir du plaisir, je me touchais la vulve en même temps ; parfois, je lui effleurais même la bite entre deux doigts, ce qui ne parut pas lui déplaire.
Le câlin ne dura pas aussi longtemps : je savais en général déceler l’approche de l’éjaculation chez ces messieurs, et Jérôme ne le cachait pas vraiment. Subitement, son regard parut soucieux :
— Alice ! Ça vient bientôt !
Je compris tout de suite où il voulait en venir. À vrai dire, j’avais une cruelle envie qu’il me gicle dans les entrailles – c’était un moment que j’affectionnais beaucoup. Et sérieuse avec ma contraception, je n’avais aucun doute :
— Tu peux y aller : je prends la pilule.
Et, comme au moment de me faire jouir, il me baisa comme un fou. Des gestes qui suffisaient à faire tourner la tête, jusqu’à ce que je le sente se contracter en moi et déverser ce fameux nectar, pour mon plus grand apaisement.
Car ...
... oui, après une folle danse charnelle dans les bras d’un homme, le sperme avait une curieuse tendance à m’apaiser l’esprit ; le sentir couler en moi me détendait presque aussitôt.
Pour ce qui était de la détente, justement, mon amant l’eut d’un seul coup ! Prudemment, il s’allongea sur moi tout en demandant s’il ne m’écrasait pas ; au contraire, ça me plaisait éormément. Nous échangeâmes une multitude de baisers tendres, avant qu’il ne sorte et ne s’allonge face à moi sur le flanc.
Ni lui ni moi n’avions l’esprit à dormir. En fait, autant d’un côté que de l’autre, l’envie de faire l’amour nous empêchait de se reposer. Et ça nous convenait parfaitement : lui pour « rattraper » ces mois de ceinture, moi pour avoir un partenaire au moins aussi gourmand. Et à vrai dire, Jérôme avait beaucoup d’amour à revendre.
Car en effet, il ne baisait pas seulement pour le plaisir : on sentait très bien qu’il aimait les femmes, qu’il avait envie de partager ce moment intime plus que de simplement se vider les couilles. De fait, je ne m’ennuyais pas du tout !
Nous nous parlions désormais presque tous les jours. Très souvent, je l’invitais chez moi pour passer une nuit ou deux, avec tout ce que ça impliquait – car ses visites étaient toujours très attendues, je m’en réjouissais à chaque fois.
Par conséquent, au bout de quelques semaines à se fréquenter pour de la coucherie ou de la « simple » compagnie, je devais me rendre à l’évidence : j’avais vraiment un truc pour ce garçon. Un ...