1. Trente minutes (2)


    Datte: 30/11/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Zeltron, Source: Xstory

    ... pipe au boulot, un jour où il n’y avait pas trop de monde, dans les toilettes du bar.
    
    Mon corps et mon esprit étaient très légers pendant cette fellation. Mon partenaire me caressait les cheveux en soupirant profondément, à me combler de louanges. Très inspirée maintenant et désireuse, je l’enfonçai alors dans ma gorge pour lui toucher le pubis proprement entretenu.
    
    Qu’est-ce que ça faisait du bien ! J’adorais cette sensation d’œsophage entravé par un gland chaud et frémissant – car en effet, Jérôme avait parfois des sursauts de verge à ces moments-là.
    
    Pendant plusieurs minutes qui passaient hélas bien trop vite, ma langue se promenait partout sur la hampe, caressait rondement le gland un peu violet et bien ferme, aidée de ma main pour garder le mâle membre dans toute sa forme.
    
    De plus en plus gourmande, je lui baisais et léchais goulument les couilles qu’il avait belles. Ça aussi, j’aimais beaucoup : gober une boule après l’autre – j’aurais adoré les deux en même temps, mais existait-il seulement une femme à la bouche assez grande ? Car il n’était pas question des dimensions testiculaires de mon ami – ils étaient beaux en apparence, mais de taille tout à fait normale.
    
    Tout en lui prodiguant cette gâterie, je fis passer ma main en bas, entre mes cuisses : ma vulve, autant excitée par le contact buccal que par l’anticipation du rapport, avait besoin de caresses et de stimuli. De fait, je me mis à gémir et à donner des coups de langues beaucoup plus ...
    ... gourmands.
    
    Mon cœur battait fort, et je perdis le contrôle de mon corps : il voulait tout à la fois. Mes doigts entraient maintenant de presque tout leur long, me faisant tortiller des hanches.
    
    Assez d’attente, assez de retenue : je montai sur le canapé, toujours à genoux, empoignant la bite ferme et qui n’attendait que ça. Regardant mon ami avec des yeux de feu, je le fis entrer sans peur dans mon corps avant de fermer les paupières.
    
    Ah ! Ça faisait du bien, enfin ! Bien mouillé, Jérôme était tout entier, mes petites lèvres touchaient sa courte pilosité. Il était chaud !
    
    Mes premiers va-et-vient relevaient du délice ; je me rendis compte assez vite, constatant le bonheur et la satisfaction, d’à quel point j’avais pu vouloir de ce jeune homme. Il m’avait fait un effet terrible après quelques semaines seulement de travail ensemble, sans vraiment que je sache pourquoi. Et me voilà enfin, cette nuit, à genoux sur le canapé, les main crispées sur le dossier, les seins plaqués contre son nez, à lui sauter dessus.
    
    Ses mains ne savaient jamais vraiment où se mettre : tantôt sur ma taille, tantôt à me saisir vivement le fessier, ou bien à m’étreindre le dos avec force. J’aimais tant ce genre de contacts, il ne devait surtout pas les cesser !
    
    — Oh Alice ! J’avais tellement envie de toi, depuis tellement longtemps !
    
    Une déclaration qui sortait du cœur ! D’habitude, je recevais ce genre de compliment sous le coup de l’excitation, ce que j’appelais « sortir de la queue ». Mais ...
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