1. Trente minutes (2)


    Datte: 30/11/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Zeltron, Source: Xstory

    ... là, une émotion très vive s’entendait dans sa voix.
    
    Tant par les mots que par l’intention, cette phrase me toucha au plus profond de mon être : moi qui me posais la question, je lui plaisais donc à ce point ! J’aurais tellement voulu qu’on couche ensemble plus tôt, s’il savait ! Mais impossible de le lui dire : pas par pudeur ou quoi, mais j’étais tellement dans un cyclone d’émotions différentes que j’étais incapable de m’exprimer intelligiblement.
    
    D’autant plus motivée, mes sauts redoublèrent alors de vigueur, au point d’en faire du bruit et de râler sous les marées de chaleur qui s’en prenaient toujours un peu plus de mon corps.
    
    Fatiguant un peu, je proposai à Jérôme de prendre le contrôle des opérations. Il se dégagea donc pour venir derrière moi, m’agrippa fermement les hanches tout en alignant sa queue, puis il me pénétra sans ménagement inutile. Bien vite, il me faisait claquer le cul.
    
    Ce que j’adorais le plus dans la levrette, c’était ce côté « invisible » : aucun moyen confortable de voir ce qui se passait, tout se jouait à travers les sensations et l’anticipation. On pouvait toujours se faire une idée de comment un homme pouvait agir à travers l’expression de son visage, ou ses yeux… Ici, rien de tout cela : l’inconnu absolu.
    
    Peut-être le dut-il à mon expressivité, mais Jérôme savait taper quand il fallait – je dirais même qu’il s’avait bourrer. Pendant quelques secondes il me baisait fort, faisant grimper la sauce dans mes tripes, avant de ...
    ... délicieusement me torturer en apaisant la cavale. Puis rebelote. Ainsi pendant plusieurs minutes.
    
    Ce genre de sexe me causait le plus d’effet, et le jeune homme l’avait sûrement bien compris au vu de ses actes. Il baisait super bien ! On pouvait deviner sa joie à le faire. Par conséquent, comme il jouait de ses reins avec régularité, je pus me préparer au plaisir et ainsi l’augmenter à son arrivée.
    
    Au bout d’un moment, je suppliai Jérôme de continuer ses coups sans les arrêter du tout : il m’envoyait sur la dernière ligne droite avant les rideaux ! Je n’avais plus aucun contrôle sur mes râles qui passaient alors bien plus vocaux. La légère traction sur mes cheveux, d’ordinaire fort peu appréciée, m’apportait ici une intense satisfaction : j’aimais que Jérôme les tire comme ça.
    
    Et puis le coup de bite ultime. Il n’avait rien de différent des autres pourtant, mais avec toutes les conditions réunies, ce fut celui qui fit exploser ma chatte à travers mes veines. Le souffle coupé pendant au moins deux bonnes secondes, je relâchai tout d’un coup dans une sorte de cri bâtard sans le moindre contrôle, qui n’avait probablement rien de sexy pour quiconque ne se trouvait pas dans notre état d’esprit.
    
    — Oh putain !
    
    Je ne sentis plus rien durant un instant, à peine la verge qui continuait de bouger bien plus doucement maintenant.
    
    Avec une voix douce mais toujours bien excitée, Jérôme proposa de poursuivre dans mon lit – une idée géniale, s’il en était, d’autant plus que je ...
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