1. Le Tournoi des six nations (2)


    Datte: 25/11/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Lartmateur, Source: Xstory

    ... écrasant mon cul. Mon bassin est collé à ses hanches. Je hurle, je suis remplie de ce membre turgescent.
    
    Je ne me reconnais plus. Le traitement dure ainsi quelques minutes, m’entraîne dans une jérémiade discontinue. Il se fige, le gland se contracte, d’un cri guttural, une longue rasade, suivie de plusieurs répliques, il m’inonde de son foutre péléen.
    
    Nous restons ainsi immobiles, figés, jusqu’au dernier soubresaut avant de nous effondrer sur le lit, m’écrasant de tout son poids. Sous moi, le duvet souillé par nos ébats. Il ne bouge plus, toujours unis par ce pont de chair qui lentement se rétracte, j’atterris peu à peu.
    
    Il se retire dans un bruit affreux de tire-bouchon. Je me retourne. Il me saisit la bouche et m’embrassa dans un baiser plein d’amour et de reconnaissance. Nous nous enlaçons.
    
    — Thank-you baby.
    
    Tu es magnifiquement « déliciouse ».
    
    Je n’ai pas le courage de parler, mais j’en ai tout autant à son service. C’est ma première séance de baise extatique. ...
    ... Jamais l’on ne m’a fait grimper à un tel niveau de jouissance.
    
    Je vois son membre se dresser à nouveau, je suis épuisée, je l’arrête.
    
    — Il faut que l’on retrouve Thierry maintenant. Il va s’inquiéter.
    
    Notre escapade a duré quelque peu et la nuit est tombée.
    
    — Non avec « Madi » il n’aura pas le temps de s’ennuyer. Je suis « Chure » qu’elle s’occupe de lui aussi bien que toi avec moi.
    
    Je suis couverte de sueur, du sperme s’écoule de ma corolle éclose, mon maquillage ruiné, mes vêtements éparses souillés de cyprine. Je ne peux décemment retourner au barbecue sans me doucher et changer de tenue.
    
    Je n’ose reprendre la Mini et demande à Gordon de bien vouloir me déposer chez moi afin de me refaire une beauté.
    
    Sommairement, il se rajuste et s’installe derrière le volant. J’en fais autant, n’enfile que mon chemisier qui reste ouvert et mon pantalon qui s’imbibe du liquide séminal de mon amant.
    
    Il démarre le camion et dans l’obscurité, je devine quelques silhouettes fuyantes. 
«12...12131415»