1. Le Tournoi des six nations (2)


    Datte: 25/11/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Lartmateur, Source: Xstory

    ... me submerge sans même que je le sente surgir. Inlassablement, mon amant s’applique lapant, se délectant de mes sécrétions intimes odorantes dont la source ne semble plus vouloir se tarir et le parfum envahir l’habitacle.
    
    Je le repousse et m’assieds sur le bord du lit. Lentement, je reprends mes esprits embrumés par une jouissance extatique. Gordon et son vit sont là, dressés à quelques centimètres de mes yeux, de ma bouche. J’empoigne l’objet de ma convoitise. Ma petite main n’en fait pas le tour. J’ai affaire au plus bel organe de toute ma vie. Ce morceau de choix, en pleine gloire, conserve tout de même une certaine élasticité agréable au toucher. Ma seconde main vient à la rescousse et d’un geste parfaitement coordonné entament un lent mouvement masturbatoire. Je n’imaginais pas pouvoir emboucher un tel morceau, mais, comme aimantée, ma bouche s’approche, mes mâchoires s’ouvrent et je commence à le gober. Ma langue est plaquée sur mon palais, repoussée au fond de mon gosier, incapable d’appliquer la moindre léchouille. Gordon râle de contentement et je redoute un instant qu’il me moie de sa semence. Telle une pieuvre sur sa proie, je ventouse le gland détrempé par les sécrétions de mes glandes salivaires.
    
    Son bassin avance, force le passage. J’ai un haut-le-cœur, tente de déglutir. Malgré le O majuscule formé par ma bouche distendue, ma mandibule, les commissures de mes lèvres sont au maximum de ma capacité d’accueil. Il commence à me baiser ainsi. Rapidement, la ...
    ... cadence augmente. Je tire au cœur, manque de m’étouffer. Un fin filet de bave, bientôt suivi par une rivière s’échappe pour se répandre sur ma poitrine abandonnée. Des larmes noircies de rimmel coulent sur mes joues, ruinent mon maquillage, ma vue se brouille, je suis au bord de l’asphyxie, prête à m’évanouir, mes yeux se révulsent.
    
    Ses mains fermes me maintiennent en place par une pression appuyée sur l’os pariétal. Je réussis toutefois à rejeter sa bite dégoulinante et reprends mon souffle. Ses mains propulsent ma tête vers sa queue et instinctivement, je tente de l’avaler du mieux possible. Je ne cherche pas à fuir. Je m’applique, je tends le cou, sa queue s’enfonce encore plus loin, chahute le fond de ma gorge. Il relâche l’étreinte, mon nez n’est plus qu’à quelques centimètres de son pubis imberbe. Jamais je n’ai imaginé pouvoir avaler une telle masse et pourtant, celle-ci est quasi engloutie. Je reprends le contrôle de ma propre initiative, j’effectue quelques aspirations dans un bruit de succion effroyablement vulgaire, mais au combien aphrodisiaque.
    
    Gordon jure dans sa langue natale des mots que je ne connais pas, mais en comprend le sens ordurier.
    
    Ma chatte n’est plus que fontaine, mon bouton d’amour, mon berlingot, excité ordonne une caresse impérieuse. Ma main s’y colle et le triture, deux doigts partent dans un tourbillon infernal, dans une ronde masturbatoire frénétique. Ma seconde main s’est emparée d’un téton et le tiraille en tous sens. Je me fais jouir ...
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