1. Le Tournoi des six nations (2)


    Datte: 25/11/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Lartmateur, Source: Xstory

    ... mon fourreau de son foutre.
    
    Gordon se retient, se retire dans d’affreux bruits d’aspirations et de succions salaces. Il me retourne et me dispose. Tête écrasée sur notre couche, buste plaqué sur le matelas, croupe offerte, cuisses écartelées, mains posées sur mes globes fessiers, l’offrande est des plus explicites. Ma grotte bouillante, ouverte, dilatée attend le retour du visiteur, mais rien ne se passe. J’entends le déclenchement d’un appareil photo. Je tourne la tête. Cet enfoiré a fouillé les poches de ma veste. Mon portable en main, il prend quelques clichés. La défiance dans le regard, je creuse davantage les reins, mes mains tirent sur mes chairs distendues, entrouvent mon puits froncé luisant de mes salissures, j’accentue la pose lubrique.
    
    Ce salopard bande encore plus. Sa verge, maintenant se dresse fièrement vers les cieux. A l’image d’un hussard napoléonien, un comble pour un anglais, sabre en avant Gordon me charge et s’enfonce d’une traite dans ma vulve, jusqu’à la garde. Je hurle sous l’attaque sauvage. Ses couilles viennent fouetter mon clitoris rougi. Une nouvelle décharge électrique me foudroie. Dans l’habitacle et bien au-delà certainement, résonne un cri rauque de bête sauvage que je ne peux retenir, tant il est puissant. Il se déchaîne loin de la retenue employée lors de sa première intromission. L’envahisseur filme notre scène bestiale d’accouplement avec mon portable. Le scénario proposé harangue mon désir et m’emporte dans une nouvelle frénésie ...
    ... sexuelle incontrôlable. Je vocifère des mots orduriers dont je ne suis que rarement partisane.
    
    — Oui, vas-y baise ta petite pute, éclate lui bien la chatte à cette salope de sainte-nitouche. Elle attendait que ça un mâle capable de la défoncer.
    
    Plus je jure plus je mouille. Je révèle une propension à vouloir être baisée par des queues vigoureuses. Gordon se retire, appuie son gland sur l’entrée des artistes rarement empruntée de mon fondement. Je le repousse et dans mon anglais scolaire, je tente de lui expliquer.
    
    — Please. Not today. So big cock.
    
    Il semble comprendre. A regret, les mains géantes agrippées à mes hanches, sans ménagement, avec hargne, il replonge dans le logement qu’il vient d’abandonner. Je suis ravagée, défoncée. Il me besogne sans retenue, s’enfonce, sort intégralement et réinvestit d’une seule poussée ma caverne en ébullition. Je braille, meugle, geins, gueule de plaisir sans retenue, presque sous le regard ou au moins sous l’auditoire d’un éventuel public. Je suis au nirvana du sexe. Mes seins sont bercés, se bringuebalent dans tous les sens, je ne suis qu’un jouet, qu’une poupée sexuelle au service d’un maître du sexe insatiable. En transe, saoule d’euphorie, je l’encourage.
    
    — Oui... oui... plus fort, encore, vas-y mon salop. Qu’elle est bonne ta queue ! Fourre-moi bien cette pute, cette salope, cette chienne.
    
    Galvanisé, il empoigne ma crinière, tire dessus, me relève la tête qui se casse en arrière. Je me cambre, il s’enfonce plus encore ...