Tranches de vie
Datte: 07/08/2018,
Catégories:
jeunes,
inconnu,
uniforme,
plage,
boitenuit,
pénétratio,
nostalgie,
Humour
Auteur: Someone Else, Source: Revebebe
... administré ce qui reste aujourd’hui encore l’une des autres plus belles pipes de ma vie. Léchage des boules, du gland et de tout le reste, un festival de gorges profondes – une première pour moi, Élodie ne pratiquant pas ce genre de sport – malaxage du service trois-pièces tout en se tripotant ostensiblement la chatte, tout y était passé… Et, comme de bien entendu, elle avait pris un malin plaisir à me faire remarquer qu’elle avait englouti la cargaison lorsqu’elle était enfin parvenue au bout de mes limites.
Ensuite, il y avait eu le deuxième round qui aurait dû être un poil plus classique puisque cela avait eu lieu dans une chambre, ce qui est un endroit naturellement moins exotique pour faire l’amour, et donc forcément moins excitant. Seulement, il faut croire que leur définition de « chambre » n’était pas la même que la nôtre… Certes, Maria avait bel et bien une piaule, mais à partir du moment où la maison en elle-même n’était en fait qu’un assemblage – plutôt adroit d’ailleurs – de planches et de tôles récupérées on ne sait où, c’était un simple rideau trop court qui nous séparait de la turne de ses darons !
Non, mais franchement, cela vous aurait-il perturbé ? Vous seriez-vous arrêtés à ce simple petit détail ? Oui ? Eh ben moi aussi, franchement… Cela n’avait pas empêché Maria de me sauter sur le dard avec une quasi-férocité assez invraisemblable ! Ajoutons à cela que sa discrétion dans l’orgasme n’était peut-être pas sa qualité principale, aussi me ...
... demandai-je bien quelle serait la réaction de ses chers géniteurs lorsqu’au matin je quitterais la maison… Eh bien, en fait d’au revoir de leur part, je n’avais eu droit qu’à un grand sourire, et puis c’était tout. Inoubliable, je vous dis !
Mais l’éternel problème des escales, c’est qu’elles ne durent jamais très longtemps. Devrais-je dire que les adieux avaient été déchirants ? En réalité, même pas, surtout de son côté à elle… Mais avec le recul et compte tenu de ce que j’avais appris par la suite, je me dis que cela s’expliquait puisqu’elles ne considéraient notre harponnage que comme un jeu auquel elles ne désespéraient pas de gagner, quitte à remettre l’ouvrage cent fois sur le métier. Bref, pour Maria, je n’étais pas le bon ; il n’y avait pas de quoi en faire une dépression…
Par contre, et pour la petite histoire, lors de mon passage en Guadeloupe quelques années plus tard où l’armée avait mis à ma disposition une immense baraque que j’étais bien incapable d’entretenir, j’étais retourné dans son bidonville avec l’espoir de la retrouver, non pas pour en faire mon épouse, mais pour la faire venir – au moins officiellement – en tant qu’employée de maison.
Là-bas, j’avais appris par ses parents que dès le lendemain de mon départ elle était tombée sur un Australien qui, lui, s’était posé nettement moins de questions que moi… et que les seules choses qui restaient de Maria étaient les cartes postales punaisées sur le mur qu’elle envoyait régulièrement d’Adélaïde à ses ...