1. Tranches de vie


    Datte: 07/08/2018, Catégories: jeunes, inconnu, uniforme, plage, boitenuit, pénétratio, nostalgie, Humour Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... nuit. Quand l’une arborait les baggies informes hiver comme été et quelle que soit la température, accompagnés comme il se doit d’un tee-shirt ras du cou et sous lequel se dessinaient toujours d’infâmes soutifs – un comble, vu qu’elle était plate comme une planche à découper – l’autre usait et abusait des petites robes d’été, souvent aussi courtes que légères tout en ayant la bonne idée de ne pas saccager ses décolletés en s’embarrassant d’accessoires inutiles… Malgré une poitrine certes menue, mais sans comparaison aucune avec celle de Natacha.
    
    Et si, d’un point de vue théorique, elle était venue aider son oncle à son restaurant pour la saison, en fait je ne l’ai vue réellement bosser dans le resto en question que quatre ou cinq fois pendant les presque trois mois qu’elle est restée dans notre patelin. Elle était venue dans un premier temps passer son permis et, dans un second, s’amuser.
    
    Ce dernier point, elle s’y était longuement attardée dès le premier soir où elle avait accepté de sortir avec moi : je ne devais rien attendre d’elle ; elle n’était pas venue là pour se prendre la tête, et je devais bien comprendre que j’étais son partenaire de jeu, point barre. Par contre, elle m’avait également précisé que si d’aventure j’allais occasionnellement voir ailleurs, elle ne m’en voudrait pas… mais que cela signifiait aussi que la réciproque était vraie.
    
    Était-elle, d’une manière ou d’une autre, au courant de mes déboires avec Natacha ? Toujours est-il qu’elle s’était ...
    ... empressée de joindre le geste à la parole en m’emmenant, l’air de rien, un peu en retrait du resto de son oncle – et surtout bien à l’abri des regards indiscrets – où elle m’avait octroyé par la suite ce que je considère encore aujourd’hui comme l’une des plus formidables pipes de mon existence…
    
    Là, bien à l’abri derrière les caisses de pinard et autres sodas, elle s’était agenouillée – je n’avais pas compris sur le coup où elle venait en venir – et, d’un geste précis, s’était mise à farfouiller dans ma braguette avec une aisance assez diabolique. À peine le temps de comprendre, elle m’avait englouti tout au fond de sa gorge… Et là, pour moi, cela avait été un aller simple pour le paradis. Et vas-y que je te suce, et vas-y que te branle, et vas-y que je te lèche le bout du gland juste au niveau du frein, et vas-y que je te gobe les nouilles – non, ce n’est pas une faute de frappe – et vas-y que je te ré-embouche…
    
    Combien de temps cela avait-il duré ? Une éternité, sûrement, mais une éternité beaucoup trop courte… Dix fois j’avais été sur le point d’exploser, dix fois elle avait su retarder l’inéluctable. Par contre, lorsqu’elle avait enfin décidé que le temps était venu pour moi de lâcher les chevaux, cette libération avait été aussi jouissive – et pour cause – que douloureuse. Il y avait belle lurette que j’avais les mouilles – toujours pas une faute de frappe – prêtes à exploser – un petit pignolage n’est souvent qu’un pis-aller –, mais alors, avec elle, la pression ...
«1234...18»