1. Tranches de vie


    Datte: 07/08/2018, Catégories: jeunes, inconnu, uniforme, plage, boitenuit, pénétratio, nostalgie, Humour Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... parents.
    
    Mais revenons à nos moutons. Dans la série souvenirs inoubliables, il y avait également eu l’escale aux Seychelles… Maria, comme beaucoup de jeunes Dominicaines, était ravissante. Certes, mais comment dire… celles de l’océan Indien, c’était carrément une autre pointure.
    
    De plus, les anciens nous avaient briefés… Nous connaissions les bonnes adresses où il suffisait de sortir quelques billets pour se voir aussitôt entouré d’une flopée de nénettes plus belles et sexy les unes que les autres. Le tableau qui nous avait été dépeint était tellement paradisiaque que nous avions tous eu du mal à y croire, et pourtant… Jamais je n’aurais pu imaginer que d’aussi jolies filles fussent à ce point sympathiques, accessibles et peu farouches.
    
    Le grand classique après une soirée bien arrosée, c’était d’aller se prendre un petit bain de minuit, qui avait d’ailleurs plutôt lieu aux premières lueurs de l’aube. Là, et à l’invitation des filles qui joignaient toujours le geste à la parole, on se mettait tous à poil – c’était toujours plus facile pour elles vu qu’elles ne portaient généralement qu’un foulard et un bikini – et là on riait, on barbotait, on déconnait jusqu’à ce que notre conquête du soir nous attrape par la main pour nous ramener sur la plage…
    
    Discuter, baratiner, poser des questions ? Ce n’était pas leur genre. En général, cela commençait par une petite turlute au clair de lune où les filles semblaient prendre un malin plaisir à exagérer leurs mouvements, ...
    ... comme si elles voulaient nous faire profiter encore un peu plus du contact de leurs longs cheveux au parfum de monoï sur nos parties sensibles… tout en sachant très exactement jusqu’où aller trop loin pour ne pas foutre en l’air les réjouissances à venir !
    
    Là, le plus simplement du monde, elles abandonnaient nos sexes dressés vers les étoiles, se trifouillaient longuement l’entrejambe – nous n’avons compris que quelques jours plus tard qu’elles ne faisaient que chasser l’éventuel grain de sable qui nous aurait inévitablement rayé le saphir – avant de s’empaler sur nos dards qui n’attendaient que ça !
    
    Ma conquête à moi – si je peux dire les choses comme ça – s’appelait Moorea : cela ne s’invente pas. Son truc à elle, une fois que tu étais en elle, c’était d’aller et venir sur ta queue avec une lenteur aussi délicieuse qu’exaspérante. Elle s’amusait à faire durer le plaisir, ne bougeant que très peu, mais en jouant de ses muscles intimes, ce qui parvenait à la fois à m’électriser tout en parvenant à retarder l’inéluctable.
    
    Combien de temps cela durait-il ? Je ne saurais le dire : tu n’as pas forcément envie de regarder ta montre lorsqu’une bombe pareille s’occupe de ta queue dans un cadre aussi paradisiaque… Ce qui ne m’empêchait pas, au bout d’un certain temps, de l’attraper par les hanches avant de la poser sur le dos. Et là, finie la douceur : place au pilonnage en règle… Moorea criait, criait et criait encore, parvenant même à couvrir le délicieux bruit des vagues ...
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