L'Histoire mène à tout... (17) - Histoires de Sexe

L'Histoire mène à tout... (17)

... te plais ?

— Oh oui ! Je suis certain qu’Alexis est d’accord avec moi. On ne souhaite que plonger sur tes seins.

— Retenez-vous, petits pervers ! J’ai soif d’abord !

— Alexis, prête-lui ta grosse queue !

— Pfffff... très drôle ! répond maman. Non, merci ! D’abord un verre. Mais tout à l’heure, pourquoi pas ? Continue-t-elle, mutine.

— Que désirez-vous boire ?

— La même chose que toi.

— Et deux Mauresques, deux !

Tout en servant les femmes, je redeviens sérieux un instant.

— Maman ! tu te rappelles de notre discussion de cet après-midi ?

— Comment l’oublier ? Me dit-elle en me souriant, coquine et heureuse.

— De quoi parlez-vous ? Demande Caroline.

— Écoutez-moi toutes les deux. Vous allez m’aider !

— T’aider à quoi ?

— À me venger définitivement de Vanessa.

— Quoi ? Souffle ma sœur. Tu veux dire que sa soumission totale n’est pas suffisante pour toi ?

— Tu veux rire ou quoi ? Ce serait un peu trop simple, tu ne crois pas ?

— Je suis d’accord ! Répond maman.

— Alors, écoutez-moi. Vous vouliez vous venger aussi de la peine qu’elle m’a affligée ? Et bien nous ferons cela ensemble.

— Quand ?

— Ce soir ! Elle va prendre cher. Vous voulez m’aider à en profiter ? À en abuser ? À l’humilier ? À en faire ma chienne personnelle obéissante et dévouée ?

— Ouiiiii... répond ma sœur dans un cri du cœur ressemblant à un cri d’extase.

— Je suis tienne, Alexis ! Tu le sais depuis cet après-midi. Ordonne et je te suivrai dans ...

... tes délires sexuels les plus fous ! me dit maman.

— Très bien. Ne buvez pas trop, car vous aurez besoin de vos forces. Elle va comprendre que l’on ne se moque pas de moi. Mais, comme je l’ai dit à maman cet après-midi, après plus question de lui en vouloir. Elle aura payé sa dette. Compris Caroline ?

— Parce qu’il y aura un après ?

— Je l’aime. Sincèrement. Mais elle va comprendre sa douleur de m’avoir fait souffrir ainsi. Je vais l’avilir au maximum. La mettre plus bas que terre pour une soirée. Ce sera aussi, pour moi, une façon de vérifier sa totale et définitive soumission à mes idées ou mes envies.

— Putain ! Tu m’épates là, Alexis. Je mouille comme une folle rien que de t’écouter ! Dit ma sœur.

— Moi aussi ! Dit ma mère. Tu es d’une perversion irrésistible. Mon string est trempé. J’ai envie de baiser maintenant. Bravo ! dit-elle en riant.

— Ton tour viendra, maman. Promis !

— Et moi ?

— Ce soir, je te baise, Caroline. Tu auras ma queue au fond de ta chatte et de ton cul.

— Oh ouiiiii... j’en rêve. Ce sera une première.

— C’est pour ce soir.

— Eh ben... il faut que je remonte me changer. Mon string est trempé maintenant. Dit ma sœur.

— Moi aussi. Je t’imagine sous les coups de ton frère et je mouille encore plus, rien qu’à l’idée d’y assister. La queue de mon fils qui ravage la chatte de ma fille... Mmmhhhhh.

— NON ! Pas question de bouger, vous deux. Retirez vos strings devant moi et restez nues sous vos robes.

— Mmmmh... j’adore ...