L'Histoire mène à tout... (17) - Histoires de Sexe

L'Histoire mène à tout... (17)

... risque fort de rester dans ma vie. Autant t’y faire.

— Si tu me promets que tu vas lui en faire baver, je te le jure. Elle n’aura plus jamais le moindre ressenti de rancœur venant de moi. Du moins, si elle te reste obéissante et soumise, bien sûr. Mais si elle recommence, je lui arrache les yeux avec les dents. Cela te convient ?

— Et comment ? Mais tu vas pouvoir assouvir toi-même ta vengeance.

— Ah oui ?

— Oui ! J’ai décidé que toi, Caroline et moi allons définitivement assouvir cette salope, une bonne fois pour toutes. Puis, nous aviserons. Soit elle se soumettra totalement, soit elle disparaîtra.

— Mmmhhh... Tu es décidément plein de surprises, tout aussi perverses qu’alléchantes.

— Merci. Je prends cela comme un compliment venant d’une mère qui baise avec ses enfants.

— Ce n’est pas bien de parler ainsi de sa maman ! On ne peut pas lui dire que c’est une perverse doublée d’une salope ! me dit-elle en fronçant les sourcils.

— Pardon, maman ! Je dépasse les limites.

— J’aime mieux cela.

— Sauf que maintenant, je suis ton maître, espèce de salope perverse. Et que tu me fais bander à mort par cette perversité et cette absence de remords. Alors oui, tu n’es qu’une salope. Et je t’aime.

— Merci, mon chéri, dit-elle en éclatant de rire. Je suis ta salope personnelle, dit-elle finalement. Je ferai ce que tu me demandes. Mes seins, ma chatte, mes lèvres, mon cul, mes mains, tout est à toi. Ordonne et je t’obéirai en bonne maman salope et perverse ...

... que je suis devenue grâce à toi.

— Tu es certaine de ne pas vouloir les rejoindre ?

En regardant à nouveau vers Vanessa et Caroline, je constate qu’elles sont sorties de l’eau et que Vanessa, harnachée à nouveau de son gode-ceinture, est en train de littéralement labourer la chatte de ma sœur dont les mains triturent ses seins au rythme de coups de hanches de sa maîtresse du moment, de petits cris de jouissance sortant de sa bouche ouverte.

— Non, merci mon chéri. Mais je pense qu’elles n’ont pas besoin de moi actuellement. Mais si je peux te faire plaisir autrement, n’hésite pas.

— D’accord, maman. Comme je te l’ai dit, mon gland est un peu sensible actuellement. Mais j’apprécierais que tu uses de tes charmes et de tes atouts indéniables pour satisfaire mes yeux.

— Que souhaites-tu ?

— Masturbe-toi devant moi, uniquement pour moi. Tu peux faire cela ?

— Mmmhh... petit voyeur. Tu veux que maman caresse son corps juste pour toi ?

— Oui !

— Tu veux que maman caresse ses gros seins ?

— Oui !

— Tu veux que maman mette ses doigts au fond de sa chatte humide ?

— Oui !

— Tu veux que maman caresse son clitoris et jouisse pour toi ?

— Oui !

— Alors, regarde bien et, je l’espère, bande fort !

En sortant de l’eau par l’échelle, ma mère ne prend pas le temps de se sécher. Elle attire un fauteuil qu’elle positionne en mode-lit et s’installe dessus en me regardant. Je me retourne une dernière fois et je constate que les deux autres femmes se ...