L'Histoire mène à tout... (17) - Histoires de Sexe

L'Histoire mène à tout... (17)

... Miam. Je meurs de faim ! Je vais prendre une douche et je redescends vite.

— Prends ton temps, je vais préparer un petit apéritif avant le repas.

— D’accord ! Je vais me faire toute belle, alors.

— Caroline ! Tu es magnifique.

— Merci ! Mais tu verras si je ne peux pas faire encore mieux.

— J’en salive à l’avance.

— Comme moi de ton repas.

Je souris au double sens de cette phrase. Mon repas, ce sera elle. Je le lui ai promis.

À leurs tours, Vanessa et ma mère sont passées devant moi pour suivre le chemin emprunté par ma sœur quelques instants auparavant, non sans avoir déposé chacune un baiser sur mes lèvres.

Trente minutes plus tard, je suis assis au bord de la piscine, autour de la table, et je sirote lentement un cocktail mauresque bien frais. Je pense à ce que j’ai promis à maman cet après-midi et j’estime avoir trouvé une punition appropriée pour Vanessa. Et cela me permettra d’être vraiment certain de sa totale soumission à ma volonté et mes désirs. En gros, d’une pierre deux coups. Car si cela fonctionne, je suis certain de m’attacher durablement maman et Caroline. En parlant du loup, c’est à ce moment que ma magnifique sœur refait son apparition sur la terrasse.

Mon menton tombe sur ma poitrine. Elle est de nouveau juchée sur des escarpins dorés très fins. Elle porte une robe blanche dont la transparence me permet de distinguer ses dessous. Elle porte probablement une guêpière en dentelles qui remontent sa poitrine presque au-dessus du ...

... tissu de la robe. Le galbe de ses seins est tout simplement prodigieux. Je ne sais pas où elle a déniché une telle lingerie, mais celui ou celle qui la lui a vendue est un virtuose. Ses cheveux sont détachés et flottent librement sur sa nuque et ses épaules.

— Mon Dieu !

— Merci, rit-elle !

— Tu es magnifique, Caroline. Mais comment fais-tu pour avoir un décolleté pareil ?

Penchant la tête pour regarder son propre décolleté, elle me demande.

— Tu aimes ?

— Tu rigoles ou quoi ? Il est irrésistible !

— Ravie que la vue te plaise. Mais c’est fait pour cela, après tout. J’aime ton regard sur moi et, je dois l’avouer, j’aime faire envie à Vanessa qui se pâme devant mes nichons. Là, elle va être scotchée.

— Je veux bien le croire. Tu as un soutien-gorge en fer renforcé ou quoi ?

— Ahahaha... Mais non, gros bêta. J’ai une excellente conseillère qui ajuste parfaitement ma lingerie à ma morphologie. Elle me coute assez cher pour cela, d’ailleurs.

— Ahahahaha... Sache que le spectacle en vaut la peine.

— J’en prends bonne note, mon chéri !

— De quoi parlez-vous ? Nous demande notre mère qui fait son apparition à son tour.

Elle est à son tour, encore une fois divine. Elle est sur des escarpins noirs, revêtue d’une robe à fines brides sans la moindre trace de sous-vêtements. Ses seins arrogants pointent dans notre direction, et ses tétons transpercent le fin tissu de son vêtement.

— Maman, tu es d’une indécence merveilleuse ! Dit Caroline.

— Je ...