L'Histoire mène à tout... (17) - Histoires de Sexe

L'Histoire mène à tout... (17)

... elle est vraiment sur le point de jouir ou si elle en rajoute une couche juste pour m’exciter ?

Mais je dois dire que je m’en moque, car cela fonctionne du tonnerre de dieu.

Je bande comme un mort de faim. Ma bite me fait un mal de chien, mais que ce spectacle est excitant. Putain ! Ma mère se fait une double pénétration rien que pour moi. Je vois ses doigts qui entrent et sortent de ses trous bien ouverts, ses seins balançant en rythme sous son buste, les frottements sur le tissu du transat redressant encore un peu plus ses tétons déjà érigés. Je n’ai jamais vu un spectacle pareil. Et c’est ma mère qui en est l’actrice principale juste pour un seul spectateur.

Son fils unique.

Je n’ose même pas me toucher de peur de jouir immédiatement dans l’eau de la piscine. Je n’aurai jamais cru que ma mère soit, à ce point, une chienne lubrique. Mais qu’est-ce que je bande.

— Aaaah... ouiiiiiiii... aaahhhh... je jouiiiiis.

Ma mère atteint à ce moment un orgasme qu’elle extériorise dans un souffle afin de ne pas réveiller les deux belles au bois dormant qui se prélassent de l’autre côté de la piscine.

Je laisse ma mère reprendre doucement ses esprits.

Après quelques instants qui ne me permettent pas de calmer le feu de ma queue, maman ouvre les yeux et me demande.

— Alors ? Était-ce assez pervers pour toi ?

— Maman ? Tu es incroyable. C’était terrible.

— Je t’ai excité ?

— Oh oui. J’ai rarement bandé de la sorte.

— Merci, mon amour ! J’ai aimé me ...

... masturber pour toi. Je le fais quand tu veux, comme tu veux et où tu veux. Je te le promets. J’adore voir ton regard sur moi lorsque je me touche. C’est un aphrodisiaque redoutable auquel je ne pourrai jamais résister à l’avenir.

— J’en prends bonne note et sache que je m’en souviendrai !

— J’espère bien ! Si j’avais su, nous aurions commencé à baiser ensemble bien plus tôt.

— Cochonne !

— Oui ! Et fier de l’être.

— Je t’aime, maman !

— Je t’aime, mon fils !

— Je te laisse te reposer un peu, comme les filles. Je vais aller me calmer un peu et préparer le repas de ce soir. Une envie ?

— Du poisson au feu de bois. C’est possible ?

— Tout ce que tu veux. Je m’en occupe. Repose-toi.

— Merci mon chéri. Je dois t’avouer que j’en ai un peu besoin.

Sortant de l’eau, mon érection s’est un peu calmée. Je monte prendre une douche rapide, mettre un boxer propre, un short et une chemise avant de redescendre préparer le repas de mes femmes. C’est le moins que je puisse faire.

Ce n’est que lorsque le soleil commence à se cacher derrière les arbres que les femmes sortent de leur sommeil.

C’est Caroline qui, la première, me rejoint dans la cuisine. Ses seins se balancent au rythme de ses pas. Elle est vraiment magnifique. Je suis le mec le plus chanceux de la terre. Je devrais probablement tenter ma chance à la loterie.

— Coucou frérot ! Que prépares-tu de bon ?

— Poisson en papillotes au barbecue, pommes de terre grillées et sauce hollandaise.

— ...