L'Histoire mène à tout... (17) - Histoires de Sexe

L'Histoire mène à tout... (17)

En ressortant la tête de l’eau suite à mon plongeon, je me dirige en nageant vers ma mère, accoudée au rebord de la piscine.

Ses seins pointant hors de l’eau vers moi, son regard ne laissant aucun doute sur ses intentions.

Ma mère est vraiment sublime.

M’arrêtant à un mètre d’elle, je l’observe comme un loup observe sa proie. Je ne peux m’empêcher de détailler sa poitrine parfaite.

Ses seins sont ronds, hauts placés et d’un galbe à se faire retourner toutes les têtes. Ils se croisent en une raie impeccablement dessinée, chaque sein repoussant l’autre en un pli gracieux. C’est un appel à y placer sa queue tendue.

— Tu admires la vue ? me demande-t-elle, mutine.

— Non ! Je m’en délecte. Tes seins sont merveilleux, maman. Je bande à les admirer et je rêve de glisser ma queue entre eux.

— Demande et tu seras satisfait, mon chéri !

— J’espère bien que nous pourrons tenter l’expérience prochainement. Elle me tente beaucoup, car je dois avouer que cette idée me hante depuis quelques jours.

— Coquin ! me dit-elle.

Puis, se rapprochant en comblant la petite distance entre nous, elle pose sa main sur ma queue tendue et susurre à mon oreille

— Sache que moi aussi. J’ai envie de te faire jouir grâce à mes mamelles et que ta crème chaude se répande afin que je puisse la déguster sur mes mamelons.

— Maman ! Ce programme me fait triquer grave. Cochonne !

— Mmmhhh... je sens ta bite enfler mon fils. Il va nous falloir remédier à cela.

— Merci ...

... maman ! Mais pas de suite, s’il te plaît !

— Je ne te plais déjà plus ? Me demande-t-elle en pinçant un peu ses lèvres dans une moue sceptique et colérique.

— Bien sûr que si, maman d’amour. Tu vois comme je bande uniquement à te regarder. Mais j’ai un peu mal au gland, pour tout te dire. Vous êtes insatiable et je ne suis pas un surhomme. Je me repose un peu afin de n’en décevoir aucune de vous.

— Quel gentleman ! Je comprends, même si j’ai envie de sexe à présent.

— Merci maman. Tu peux les rejoindre si tu veux, dis-je en montrant Caroline et Vanessa occupées à se caresser simultanément les seins en s’embrassant, langues sorties de leur bouche.

— Non, merci ! J’ai ma dose de sexe lesbien actuellement. Et puis, pour tout t’avouer, je n’ai pas encore totalement pardonné à Vanessa.

— Je m’en doute, maman chérie.

— C’est vrai ?

— Bien sûr ! Tu n’aurais pas monté ce stratagème purement sexuel et axé sur mon plaisir personnel pour l’occulter uniquement pour quelques coups de langue sur ta chatte.

— Je reconnais bien là ton intelligence, mon chéri.

— Tu sais ce que je vais faire pour toi ?

— Non ?

— Je vais te permettre de te venger une bonne fois pour toutes de ses actes passés et je vais en profiter pour faire de même. Après tout, elle s’en sort un peu trop bien avec cette « simple » soumission à mes désirs, même si cela me promet de grands moments. Mais une fois cette petite vengeance terminée, tu feras la paix avec Vanessa. Définitivement. Elle ...