Aide à domicile (1)
Datte: 05/11/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
campagne,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
portrait,
rencontre,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... un thé ?
— Euh… pas vraiment à cette heure. Z’auriez pas une’tite bière ou un coca à la rigueur ?
— Hélas non, voyez vous-même. Mon frigo est vide, il ne me reste qu’un yaourt…
— Ben… qu’est-ce que vous allez manger ce week-end ?
— Ce yaourt et j’ai un reste de pâtes dans le placard.
— Mon Dieu, misère ! C’est-y possible ? Une jeune femme comme vous dans la force de l’âge, il faut que ça mange.
— Ben oui, mais quand on n’a plus de sous, on fait comme on peut.
— Et le reste de la semaine ?
— Oh, je grignote un peu en préparant les repas de ma petite mammy. Et puis des fois, certains me donnent une petite pièce, de quoi m’acheter un bout de pain…
— Ouais, mais ça c’est pas possible. C’est votre santé qui est en jeu. Bon Dieu de nom de dieu, c’est pas vrai qu’une jeune femme qui travaille n’aie pas de quoi manger ! Merde alors ! Tous des exploiteurs. Et ils ne peuvent pas vous fournir une voiture de service ? Y en a qui le font…
— C’était prévu, mais ils n’ont pas eu la subvention, de l’état ou de la région, je sais plus. Y a plus de sous nulle part…
— Décidément, on vit mieux à la campagne qu’à la ville. Bougez pas, vous ne sortez pas dans l’après-midi ?
— Ben non, si je n’ai pas d’argent pour manger, j’en ai encore moins pour sortir…
— Je reviens un peu plus tard. Et… merci pour… c’était rudement bien, un vrai travail de pro !
— Je ne sais pas si c’est un compliment, j’veux dire d’être professionnelle de la chose…
— Non, je ne voulais pas vous insulter, ...
... c’était admiratif. Où avez-vous appris à faire ça ?
— Ah !… C’est ma mère. À quinze ans, elle m’a dit « ma fille, si tu ne veux pas qu’un homme te saute, il faut le sucer ! », et elle m’a fait m’entraîner avec une bouteille de Perrier. Et croyez-moi qu’avec une bouteille, si les dents ne sont pas rentrées, on s’en rappelle !
— D’accord, remarquez elle n’avait pas vraiment tort sur le fond. Mais la bouteille, ça ne fait pas tout ?
— Exact. Alors après, elle m’a fait m’entraîner sur son copain. Je crois que ça l’excitait et lui aussi, ce salaud. Tous les soirs quand il rentrait de boulot ou d’ailleurs, il venait dans ma chambre pour sa « petite sucette », comme il disait.
— Ah la vache ! Il s’en passe des trucs dans les familles…
— Ouais. Et puis un jour, c’était grève générale : pas de lycée et lui pas de boulot. Juste ma mère a voulu y aller quand même, elle tenait une boutique de fringues avec une copine. Alors il est venu dans ma chambre dès son départ, j’étais encore en chemise de nuit. Il m’a dit qu’on allait faire quelque chose de nouveau, que j’avais les nichons pour. Il m’a ôté ma chemise de nuit et il m’a demandé de le branler avec mes seins. Au début tout allait bien, mais il a voulu aussi me les tripoter, me les sucer, disant qu’ils étaient beaux, gros et fermes. Et là, tout a basculé. Ces mains d’homme sur mes seins m’ont… comme électrisée, ça m’a rendue folle. Évidemment, il en a profité un max. Il m’a pris ma fleur et puis, comme il ne voulait pas me mettre « en ...