1. Aide à domicile (1)


    Datte: 05/11/2021, Catégories: fh, hplusag, campagne, amour, Oral pénétratio, fsodo, portrait, rencontre, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... Ayant tout pour se nourrir, n’achetant que le sel et le poivre, entre loyer et vente au marché, il ne dépensait même pas les mille euros de revenus. Mais il éprouvait une certaine jouissance à terroriser cette jeune femme qui, il le sentait bien, aurait fait n’importe quoi pour ne pas se retrouver à la rue. Et puis… et puis il l’avait trouvée pâlotte et amaigrie en arrivant, d’après le souvenir qu’il en avait en signant le bail trois ans auparavant. Cependant, elle restait encore mignonne, malgré ses joues creuses et ses pommettes saillantes. Le reste surtout le troublait beaucoup. Elle portait un leggings et un sweater moulants qui laissaient deviner une paire de nénés plus qu’honorable et un cul particulièrement généreux. L’opposé de la Françoise, tout pour remplir les mains d’un honnête homme. Plus il la regardait et plus sa virilité palpitait, et quand elle se jeta à genoux pour supplier sa bienveillance, il lui vint une idée saugrenue. Tellement qu’il s’entendit lui dire sans y croire lui-même :
    
    — Remarquez… on pourrait p’têtre trouver une sorte… d’arrangement…
    — C’est à dire ?
    — Ben… j’suis veuf, un homme seul… alors si… vous me faisiez une petite gourmandise, dit-il en avançant le bassin…
    — Vous voulez dire que je… vous…
    — Juste une petite gâterie qui n’engage à rien… comme ça, le genre de truc qu’on oublie vite, mais qui soulage le bonhomme…
    — Bon…
    
    Ben merde alors, pensa-t-elle.Il veut que je le suce, le cochon. Il abuse de la situation. Enfin, si c’est ...
    ... indispensable pour ne pas me retrouver à la rue… Oh putain ! Mais c’est qu’il est monté comme un bourricot ! La vache, je vais m’en voir pour avaler ça. Pourvu que… non ça va, il sent bon la savonnette…
    
    Germain n’en revenait pas. La petite s’était laissé faire sans barguigner. Non seulement ça, mais, après un instant d’hésitation, elle le pompait divinement. Ah, ce n’était pas le petit coup de langue vite fait de la Françoise avant de lui tendre ses fesses avec dédain. Là, c’était du grand art : coups de langue sur le méat, sur le frein, gland gobé et malaxé, succion forte, mais sans excès, gorge profonde, branlette de la hampe, coups sur la langue et sur la joue, couilles malaxées et grattouillées, bref, le grand jeu. Elle y mettait le paquet, la salope. Il ne savait que pousser des grognements et lâcher des « Oh pu-tain » sporadiques. Et puis il y avait ce regard aux yeux révulsés pour guetter dans les siens la montée du plaisir. Elle le retardait comme elle le souhaitait et quand elle décida que ça suffisait, elle accéléra brutalement la branlette, augmenta la succion et pressa plus fort les testicules. Il ne put que se rendre, giclant à longs jets trop longtemps retenus. Elle avala tout sans sourciller et lui nettoya le matériel presque avec gourmandise.
    
    — Excusez-moi un instant…
    
    Il s’affala dans le canapé clic-clac et l’entendit se laver les dents. Il avait la tête et les couilles vides et planait sur un petit nuage de félicité. Elle revint.
    
    — Vous voulez boire ...
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