Aide à domicile (1)
Datte: 05/11/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
campagne,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
portrait,
rencontre,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... croyez que Monsieur Germain me gardera après mon BTS ?
— Je l’espère bien. Je crois qu’il a confiance en toi, maintenant. En tous cas, moi je le souhaite, et n’oublie pas que je suis son associée.
— Merci, M’dame. C’est vrai que moi, pour m’installer, j’aurais du mal sans terres et sans argent… J’aimerais bien continuer à travailler ici.
Mélanie ne pouvait s’empêcher, durant les cinq à six heures qu’ils passèrent ensemble, d’admirer l’excroissance qui dilatait la salopette de Julien.
Je le fais bander et ça me ravit. Et quelle santé ! Il a la gaule sans discontinuer depuis le début de l’après-midi. C’est dingue comme ça m’excite, je suis toute mouillée. S’il savait…
Elle lui confia de nombreux documents sur une clé USB, et le rapport s’enrichit d’un important chapitre sur la situation financière. Du coup, la conclusion passa de « l’exploitation est en bonne santé » à « l’exploitation est dans une excellente situation matérielle et financière ». Gus se rengorgea. Mélanie apprécia l’effort en orthographe en corrigeant encore quelques fautes. Ça sert d’avoir fréquenté l’école des sœurs avec des méthodes dites dépassées. Julien obtint son BTS haut la main, ce qui est normal pour un garçon sérieux. Il aurait bien intégré une licence professionnelle, mais il fallait partir dans un autre centre à l’autre bout de la France où il n’était pas certain de retrouver un aussi bon maître d’apprentissage, un aussi bon logement. Son contrat ne se terminait qu’en septembre, mais il ...
... obtint de Germain, bien poussé par Mélanie, la promesse d’un contrat au premier octobre, comme employé cette fois.
— Mais à une condition, gamin, que tu mettes en pratique tes préconisations. Elles me paraissent avoir du bon sens.
De fait, le rapport de stage devait comporter quelques préconisations, contribution de l’apprenti à l’évolution de l’exploitation. Julien était bien ennuyé pour en faire, compte tenu du niveau de la ferme frôlant la perfection. C’est en étudiant les maladies et les épidémies qu’il lui vint quelques idées, comme par exemple, installer une seconde clôture autour de la parcelle des porcs, faite de rouleaux de barbelés fixés dans le sol, pour préserver le cheptel d’une éventuelle contamination par des sangliers de passage, toujours attirés par les femelles. De même, il conseillait de couvrir la basse-cour d’un filet empêchant d’éventuels migrateurs de s’y poser. Grippe aviaire, fièvre porcine étaient en effet des épidémies redoutées et redoutables. Pour les vaches, c’était plus difficile à cause du mode d’élevage en plein air. En principe, une contamination de type « vache folle » semblait impossible, aucune farine n’entrant dans leur alimentation. Un virus ne pouvait donc qu’être transmis par l’homme, rapporté d’un autre élevage lors d’une visite. Il conseilla donc d’installer un sas d’entrée dans la stabulation avec un pédiluve par précaution, si une mesure de confinement devait être prise. Mais surtout, il invita à envisager l’installation d’un ...