Aide à domicile (1)
Datte: 05/11/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
campagne,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
portrait,
rencontre,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... aux assauts de son mâle, pire, elle jetait ses fesses voluptueuses sur le sexe tendu de l’homme immobile. Ce fessier blanc et charnu venant chercher son plaisir, cette taille fine, cette peau laiteuse et ces cris rauques d’encouragement mirent Julien en grand émoi. Il bandait comme un cerf au brame et commençait à se toucher le sexe à travers sa combinaison.
— Nom de dieu, comment elle est en chaleur cette meuf ! Quelle salope ! Elle est chaude comme une baraque à frites !
Germain semblait déguster l’instant, les yeux fermés et la bouche ouverte, se contentant de claquer de temps en temps le gros fessier qui lui donnait tant de plaisir. Puis le foin vola, la jeune femme exulta à nouveau bruyamment et sollicita son amant de sa voix d’outre-tombe :
— Ah tu me fais jouir, mon salaud ! Et je te connais, mon Gus, tu vas m’enculer maintenant, hein ? Tu vas me défoncer le fion comme à la salope que je suis. Vas-y, mon Gus…
Le paysan ne se fit pas prier. Il écarta les hémisphères charnus de ses pouces, y lâcha un gros mollard et fourra son mandrin dans le trou du cul qui n’attendait que ça. La femme rugissait, l’homme ahanait.
— Putain, c’est pas vrai ! Elle se fait enculer… Une vraie folle de la queue,, c’te meuf !
Julien avait sorti son sexe et se masturbait à tout va. Quand l’homme et la femme exultèrent ensemble, son sperme gicla à gros bouillons sur le plancher du grenier. Germain se rhabilla vite en marmonnant :
— J’vais bosser, le pt’it va s’demander ...
... où j’suis passé…
Mélanie traîna un peu plus longtemps, revenant doucement à la réalité en étirant son corps dans le foin, souriant à chaque pet bulleux qui s’échappait de ses fesses. Puis elle se redressa, épousseta toutes les brindilles collées par la sueur, bouchonna son cul d’une poignée de foin et prit tout son temps pour caresser ses seins, sa chatte et ses fesses endoloris avant d’enfiler sa robe légère qu’elle laissa ouverte pour traverser la cour. Le jeune homme n’en revenait pas de ce moment d’intimité qu’il venait d’observer depuis sa cachette.
— Putain, la vache ! Avec son air de sainte-nitouche, elle est gaulée comme une déesse, cette meuf. Elle respire le sexe et l’amour par tous les pores de sa peau. Quel cul ! Quels nichons ! Il s’emmerde pas le Germain…
Il continuait de caresser sa queue encore humide, mais restée bandée, regrettant de ne pas avoir son smartphone avec lui pour immortaliser ce spectacle. Il ne pourrait compter que sur sa mémoire pour se masturber chaque soir à l’envi. Sûr que désormais il ne regarderait plus « la patronne » du même œil. Il fut d’ailleurs plus timide, plus gêné et plus rougissant que jamais au repas du lendemain. Mais il ne pouvait s’empêcher de suivre le trajet bondissant des nichons ou les oscillations fascinantes de ce cul magnétique. Gus le remarqua :
— J’crois bien que le p’tit en pince pour toi, ma belle, dit-il après le repas.
— Tu rigoles, mon Gus, à son âge ce sont les minettes de dix-huit ans qui les ...