1. Aide à domicile (1)


    Datte: 05/11/2021, Catégories: fh, hplusag, campagne, amour, Oral pénétratio, fsodo, portrait, rencontre, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... réactions, et elle aurait bien aimé le soigner de cette tare, d’autant qu’il y avait moins d’écart d’âge entre elle et lui qu’elle en avait avec son mari. Mais cela en restait au stade du rêve érotique, et elle se rattrapait le soir en chevauchant Germain comme une amazone.
    
    De son côté, le jeune homme ne pensait guère à « la patronne », comme il la désignait, si ce n’est que ses gros nichons et son cul rebondi l’impressionnaient et lui faisait perdre ses moyens. Timide, il n’avait jamais dépassé le stade du baiser avec les filles, et ne connaissait du corps féminin que les vidéos d’Internet qui l’aidaient à soulager les pulsions de ses jeunes hormones.
    
    La scène se produisit un beau jour de printemps. Julien était monté dans le grenier de l’étable pour déboucher la trémie qui délivrait les compléments de nourriture aux vaches. Depuis qu’ils avaient mis au point, avec le patron, ce système de distribution automatique, ils avaient encore moins de travail et en plus ils pouvaient suivre et contrôler la ration consommée par chaque bête munie d’un collier. Ça et les rouleaux de brossage, presque comme ceux qui lavent les voitures, une musique douce diffusée dans l’étable et les vaches semblaient plus heureuses, moins nerveuses, plus productives en lait comme en viande. Mais parfois la machine s’enrayait, souvent pour peu de chose, une branche oubliée, un caillou ou un bloc de graines agglomérées. Il fallait grimper la débloquer, ce qui fut fait. Il allait redescendre quand ...
    ... il entendit une course sur les pavés de la cour et de grands éclats de rire.
    
    — Attends ma salope, tu vas voir comment je vais t’arranger, criait Germain.
    — Attrape-moi si tu peux, répondait « la patronne » en riant.
    
    Germain la rattrapa et la projeta dans le foin, elle semblait n’attendre que ça. À cheval sur ses cuisses, il déboutonna la robe de cotonnade et s’empara à pleines mains des gros seins qui étaient nus et libres sous la fine étoffe.
    
    — Putain, dire que j’ai même pas remarqué ça en mangeant, se reprocha Julien.
    
    Plus Germain pelotait ces superbes nichons, plus « la patronne » semblait excitée. D’une drôle de voix, elle invectiva son mari :
    
    — Tu vas me sauter dans le foin, mon salaud, tu vas fourrer ta grosse queue dans ma petite chatte…
    
    Germain se redressa pour quitter sa salopette, l’espace d’un instant Julien aperçut les belles cuisses charnues et le superbe triangle velu de la femme. Mais aussitôt, Germain se mit sur elle et il ne vit plus que le dos puissant de son patron, agrippé par les quatre membres de son épouse qui râlait comme une louve, tête renversée en arrière.
    
    — Putain, qu’est-ce qu’il lui met !
    
    La vision n’était pas érotique en soi, c’est la situation qui l’était. Surtout lorsque la jeune femme se tétanisa, s’arqua puis se replia en avant, rugissant comme une panthère. À cet orgasme, Germain se redressa à genoux et la femme en furie goba son sexe et le pompa comme une déchaînée. Puis elle se retourna, offrant sa croupe généreuse ...
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