Voir Bruxelles et sourire - Histoires de Sexe

Voir Bruxelles et sourire

... qu’elle m’embrasse goulûment tandis que sa main va droit sur mon entrejambe, réactivant instantanément ma libido. Nous nous déshabillons promptement, et ma bouche explore son corps. Ses seins-volcans m’attirent immédiatement. J’en agace un du bout de la langue et je pince l’autre doucement. Je suis fasciné par la forme bombée des aréoles, qui semblent appeler mes lèvres en leur promettant un festin à nul autre pareil.

Pendant que je savoure les poires d’Hortense, ma main se réjouit de l’extrême douceur et du galbe de ses cuisses. Je viens les apprécier à pleines lèvres et, à force de baisers, me fraie un chemin vers la vulve, que je le lutine avec délectation, arrachant des râles d’extase à ma partenaire. Sa cyprine a un goût indescriptible mais délicieux, à tel point que je m’enivre de ce nectar et que ma langue s’aventure à le chercher jusque dans son vagin. J’ai ses jambes sur les épaules, et à chaque coup de langue je sens ses mollets frémir contre mon dos.

Hortense se redresse doucement :

— Si tu continues, je vais jouir tout de suite… Attends…

Elle me pousse à m’asseoir et me prend en bouche. Je suis parfaitement dur en quelques allers-retours. Je la fais se rallonger, l’embrasse sur le visage, le cou, les seins, la vulve à nouveau. Je me mets au-dessus d’elle, le sexe à l’entrée du sien. Nous échangeons un regard, ses yeux m’expriment leur ardent désir, mais aussi une inquiétude.

— T’es biensafe ? me demande-t-elle.
— Oui… fais-je simplement, ...

... oubliant toute prudence.

Je lis « vas-y » dans son regard.

Je la pénètre presque entièrement en un coup, lui arrachant un cri. Un aller-retour et j’emplis totalement son vagin. Il semble court, je sens nettement le fond. L’intimité d’Hortense m’enserre comme un fourreau, me comprime le gland, le relâche et le comprime à nouveau, en cadence avec mes allées et venues. Ma partenaire et moi ne faisons plus qu’un, mon sexe dans le sien, ses yeux dans les miens. Tout mon désir et toute ma frustration cumulée se relâchent d’un coup. Foudroyé de plaisir, j’expulse de grandes giclées de sperme dans le vagin d’Hortense. J’aurai tenu moins d’une minute en elle…

— Je suis désolé, c’était tellement fort…
— Tellement fort, et tellement pas raisonnable… me répond-elle avec son beau sourire rêveur.

M’emparant d’une serviette en papier, j’essuie délicatement son sexe et recueille le jus qui en sort. Ce geste la touche, et elle me prend contre elle pour m’embrasser. Et, de nouveau, la douceur a tôt fait de se changer en fièvre. Ma main se glisse sur son intimité, la caresse, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Elle halète. Crie « ah la vache ! », et se met à le répéter en boucle. J’intensifie encore ma caresse. Elle écarte les cuisses au maximum, un pied contre un appuie-tête, s’agite. J’attrape l’autre pied et lui mordille les orteils. Elle jouit. Longtemps, intensément. Je continue mes caresses, donnant tout ce que j’ai pour le plaisir de cette fille incroyable. Son orgasme ...