Voir Bruxelles et sourire - Histoires de Sexe

Voir Bruxelles et sourire

... soupire d’aise quand je m’en empare à nouveau. Elle défait son chignon avec un brin de théâtralité, faisant tomber ses cheveux cuivrés sur ses épaules. Je la remercie du spectacle en aspirant goulûment un sein.

Je l’allonge ensuite sur la banquette et achève de la déshabiller. Je découvre ses jambes à la peau incroyablement douce, et deux petits pieds aux ongles vernis de bleu. Je les baise de mes lèvres et m’apprête à continuer mon exploration du corps d’Hortense quand elle s’exclame joyeusement que c’est à son tour de jouer.

Je m’apprête à enlever mon polo mais elle m’arrête d’une main et me déleste de ma ceinture, puis me fait retirer pantalon et boxer. Mon sexe est à peine sorti qu’elle le gobe entre ses lèvres. Tout doucement, puis elle se met à l’aspirer, tout en commençant doucement ses va-et-vient et en accélérant peu à peu. La sensation est extraordinaire. Cette fille sur laquelle je fantasmais derrière mon écran il y a quelques heures à peine est en train de me tailler la plus belle pipe de ma vie.

D’une main je caresse un sein, saisis une fesse, puis la doigte pendant qu’elle continue de me sucer à quatre pattes. Mon membre est parfaitement dur et j’en veux plus. Elle aussi visiblement, puisqu’elle vient s’installer à califourchon sur moi. Mes mains massent ses seins, ma bouche dévore la sienne et mon sexe subit les allées et venues de sa vulve trempée, je crois devenir fou de désir. Je m’apprête à la pénétrer, quand soudain Hortense se fige.

— T’as ...

... un préservatif ?
— Oui. Dans le coffre…
— Oh… On peut pas aller plus loin sans se protéger…

J’accuse le coup, me maudissant de ne pas avoir laissé mon sac dans l’habitacle. Un instant de flottement, et puis la tension sexuelle tombe, me laissant une douleur de frustration dans les parties intimes. Ayant repris nos esprits, nous décidons finalement de manger dans les alentours et nous rhabillons.

Hortense semble à nouveau sur la réserve sur le chemin puis au restaurant. À la fin du repas, alors qu’elle s’est absentée avec un très naturel « je vais faire pipi », je cherche un hôtel sur un site de réservation. J’ai la mauvaise surprise de constater qu’ils sont tous pleins. Pas un instant je n’ai songé à réserver plus tôt… À tout hasard, je passe quelques appels, qui me confirment le verdict : du fait de la tempête, les gares et l’aéroport sont fermés, et les hôtels sont pris d’assaut par les voyageurs piégés. Voilà qui explique l’impossibilité d’avoir un train… Je réserve une chambre pour le lendemain ; en attendant reste la voiture. Je redoute que la nouvelle incite Hortense à rentrer chez elle, mais une fois revenue, après un moment d’hésitation elle acquiesce et me dit que si on ne dort pas on regardera d’autres vidéos débiles. Et plus si affinités, ajoute-t-elle avec un regard éloquent et très plaisant. Un brin de toilette dans les toilettes, et nous retournons à la voiture.

Hortense semble à nouveau en feu sur le lieu de nos ébats. La portière est à peine claquée ...