Pas de pénurie pour les masques - Histoires de Sexe

Pas de pénurie pour les masques

... queues, c’est par des objets. Je dis à Philippe, toujours pour montrer que je suis :

— Elle encaisse tout de même beaucoup. Et notamment en anal.
— C’est sa spécialité, me dit Philippe. Elle explique sur son blog qu’elle est plus ouverte du cul que de la chatte.
— Tu es bien renseigné
— Je rechercherai et je te montrerai la vidéo de l’interview, si tu veux.
— Non, je te fais confiance

La femme sans masque participe aussi. Elle est nue, pas mal, chatte épilée comme A., mais pas de tatouage ni de piercing, semble-t-il. Avec ses mains ou sa bouche, elle aide les hommes à maintenir leur érection. Au bout de 10 à 15 min, encore que je ne regarde pas l’heure, ça devient tout de même un peu lassant. La musique est forte. Je finis par détourner un peu les yeux de la scène. Et là, je m’aperçois qu’il y a des mouvements, plus ou moins furtifs. Dans le public. Dans la salle. Sur les fauteuils. Ma voisine a penché sa tête sur le dossier de sa chaise. Elle a la bouche grande ouverte. Je regarde un peu mieux. Ses cuisses sont aussi ouvertes. La main de son mari, enfin, je ne sais pas, de l’homme à côté d’elle, s’agite entre ses cuisses. Elle feule. Elle jouit. Et juste après, elle se penche pour, sans doute, même si je ne peux pas bien voir, sucer son homme. Je donne un petit coup de coude à Philippe :

— Tu as vu ?
— Oui, et regarde, de mon côté, c’est pareil. Derrière aussi.

Effectivement, c’est le cas. Je ne sais pas trop comment réagir, mais je dois dire que mon corps ...

... réagit, lui.

La musique est toujours forte. A. a maintenant la bouche grande ouverte, la femme qui était au premier rang, sans masque, semble lui bouffer la chatte. Elle jouit. Et elle appelle les trois hommes et leur dit :

— Dans ma bouche, maintenant.

Et je regarde, la bouche grande ouverte également pour ce qui me concerne, mais sans rien dedans, j’aurais presque des regrets, les trois hommes éjaculer dans la bouche d’A. Elle referme la bouche, elle avale, elle sourit.

Mathilde prend alors la parole :

— Mesdames et Messieurs, ainsi se termine la première partie. Ne partez pas, dix petites minutes de pause, et on reprend. Je vous rappelle qu’A. nous a demandé de lui organiser unbukkake pour finir. C’est ouvert à tout le monde, donc au moment venu, n’hésitez pas. Tous les volontaires peuvent aussi participer aux réjouissances. Les trois heureux hommes de la première séquence, vous l’avez vu, ont pu honorer A. sans protection. Ils sont bien entendu à jour sur leurs tests, comme A. Cela va sans dire, ça va mieux en le disant. Et aussi, A. demande toujours si parmi le public, il y a une ou plusieurs femmes qui souhaitent se joindre à elle, pour satisfaire, comme on dit, ces messieurs. Et surtout, pour se satisfaire elles-mêmes et en profiter un maximum. Nous nous engageons à ne pas filmer le visage de celles qui aimeraient participer.

Philippe se penche vers moi, avec un grand sourire que je devine derrière son masque, au ton de sa voix :

— Ça te tente ?
— ...