1. Pas de pénurie pour les masques


    Datte: 30/10/2021, Catégories: fh, fhh, fhhh, grp, couplus, inconnu, fête, noculotte, photofilm, facial, Oral préservati, fdanus, fsodo, Partouze / Groupe Humour boitenuit, Auteur: Cormobin, Source: Revebebe

    ... cette cape, et il ne faut pas la laisser sans action, car elle pourrait prendre froid, je vais donner la parole à A.
    — Bonsoir à tous, merci de me faire le plaisir d’assister, et pour certains d’entre vous, de participer. Je veux surtout vous rassurer. Même si je ne connais pas trop le scénario, sachez que je suis en pleine conscience et totalement consentante pour tout ce qui pourrait arriver. Je n’ai pas de tabou. Donc, n’ayez aucune crainte, prenez plutôt tout votre plaisir à regarder, et comme moi, je vais prendre du plaisir à tout ce qui va m’arriver, surtout, prenez-en aussi, si l’occasion se présente. Tout ce qui se passera ici est privé. Bien entendu, vous pourrez voir le film sur mon site, mais nous sommes très vigilants à préserver l’intimité de chacun.
    
    Je dis à Philippe :
    
    — Elle a un petit accent sympa.
    
    Et sur ces mots, Mathilde enlève la cape. A. est effectivement totalement nue et totalement épilée. Mathilde la fait tourner sur elle-même. Elle décroche la laisse. Seul le collier subsiste. Je vois qu’A. a des tatouages colorés, un peu partout sur le corps. Sans doute des piercings également. Quelque chose semble briller sur ses fesses. Je me penche vers Philippe.
    
    — Elle a quelque chose sur les fesses ?
    — Pas sur les fesses, dans les fesses, me répond Philippe
    — Quoi ? Je ne suis pas sûre d’avoir bien entendu.
    — Oui, elle doit avoir un rosebud
    — C’est quoi un rosebud ? Une sorte de plug ? Je ne suis pas ignorante…
    — Oui, c’est ça, sachant que ...
    ... pour A., il doit avoir une dimension relativement imposante
    — Ah bon ?
    — Oui, tu as bien vu sur les vidéos
    
    C’est vrai que sur les vidéos, je l’ai vue se faire enfiler des objets d’une taille impressionnante dans l’anus, et elle semblait y prendre un plaisir intense. Cela m’aurait presque donné des idées. Chaque chose en son temps.
    
    Je m’aperçois qu’il y a quelques meubles sur la scène, enfin, je ne sais pas si le mot « meuble » est pertinent. Des sièges, ou assimilés, qui me paraissent un peu bizarres, et dont je vais comprendre l’utilité tout au long de la soirée. Pour faire simple, ces meubles n’ont qu’une seule vocation : permettre de baiser confortablement, dans des positions parfois improbables. Car très vite, les trois hommes sans masque assis au premier rang se lèvent, s’approchent d’A., ouvrent leur pantalon, et tendent leur queue, déjà en érection, vers A.
    
    Je dis à Philippe :
    
    — Pour bander déjà, ils doivent être des professionnels.
    — Probablement, me répond Philippe
    
    Je ne peux décrire tout ce qui se passe sur scène. Ce n’est pas parce que je ne comprends pas, mais c’est tellement « fort » et parfois rapide, que le récit serait compliqué. En gros, A. se fait baiser par tous les trous. Cela paraît vulgaire, mais c’est la réalité. Et c’est presque violent. Heureusement, si j’ose dire, elle a l’air d’aimer ça. C’est ce qui rend le spectacle supportable. Sa bouche, sa chatte, son cul sont pénétrés tour à tour ou en même temps. Et quand ce n’est pas par les ...
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