1. Une mère dévouée (1)


    Datte: 16/10/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: DimStaknov, Source: Xstory

    ... et sans lubrifier. Pourtant, la bite de Thierry avait du potentiel. Et Virginie doit bien avouer que la première fois qu’elle l’a vue, elle s’est réjouie avec une certaine gourmandise. Essayer de l’enfoncer dans sa petite bouche en remuant la tête pour que ses lèvres écartées enserrent la bête, s’asseoir très progressivement dessus, sentir un membre massif, digne d’un dolmen, pulser dans sa petite chatte ; devoir la tenir à deux mains pour la branler.
    
    Autant de perspectives qui la firent rester malgré les premières fois décevantes. Cependant, l’adage selon lequel il vaut mieux une petite énergique qu’une grosse paresseuse trouva confirmation. Thierry avait estimé que son apprentissage de la sexualité, des techniques et astuces pour faire jouir une femme, s’était achevé en même temps que sa puberté. Ignorant toute délicatesse, réticent à toute remise en question, il avait misé tous ses jetons sur sa grosse bite. Il la promenait fièrement devant le visage mi-amusé mi-médusé de ses partenaires. Et puis il avait rencontré Virginie, qui, selon ses dires, était complètement accro à son membre.
    
    Alors, pourquoi Virginie était-elle restée avec ce mufle en puissance ? Elle était jeune. Il avait une situation stable, une voiture. Aujourd’hui, ça paraît dérisoire.
    
    Lorsqu’elle se masturbe, environ une fois par semaine, Virginie pense à des scènes de romans ; elle les lit en cachette pour éviter les railleries de son mari. En tout cas, elle essaye de se persuader que ces lectures ...
    ... lui vaudraient des moqueries. En réalité, Thierry se fout de ce que peut bien faire sa femme. Ils couchent ensemble deux fois par an, pour éviter les plus grosses disputes, pour se souhaiter la bonne année. Sans plaisir, par désœuvrement ou par intérêt. Et c’est tout. Elle en a bien conscience, mais l’inertie est telle qu’elle n’aura jamais la force de divorcer. Le mariage suit des lois aussi immuables que celles de la physique newtonienne.
    
    Dernièrement, Virginie s’est surprise à repenser à l’incident du jardin. Contre son gré, l’image du petit pénis ratatiné hante ses pensées. Il lui évoque le sexe en marbre des statues grecques, dont la petitesse était une marque de noblesse. De fil en aiguille, elle imagine Dorian ceint d’une couronne, en dieu olympien, armé d’un javelot et d’un bouclier. Hoplite musclé, nu sous sa lourde armure. Sa main glisse imperceptiblement au creux de sa cuisse, sournoise et affamée comme celle d’un inconnu. Elle frotte son minou contre le dos de sa main, remue le bassin pour que ses lèvres trouvent la rigidité des phalanges. En même temps, elle empoigne son sein gauche, s’y tient fermement et vogue vers l’orgasme.
    
    Un matin, elle réalise avec effroi qu’un de ses rêves érotiques comptait Dorian en rôle principal. Une mère qui rêve de son fils... Comble de l’immoralité, horreur parmi les horreurs.
    
    Plus tard dans cette même journée, Virginie se glisse dans la chambre de Dorian pendant son absence. Elle sait qu’il interdit formellement qu’on y ...
«12...6789»