1. Une mère dévouée (1)


    Datte: 16/10/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: DimStaknov, Source: Xstory

    ... peser sur la nuque, la pauvre. Maman chérie. Il voit ses yeux rieurs, ses lèvres pleines de tendresses et de bisous. Un haut-le-cœur le prend soudain. Mais qu’est-ce que je fous putain.
    
    Fantasmer sur sa mère, il n’y a que les tueurs en série qui font ça juste avant de commettre leurs horreurs. En même temps...
    
    Un corps c’est un corps. Et puis avec cette queue, je n’aurai jamais de rapport avec une femme normale. Dorian pousse le tiroir et tente de se calmer. Il prend une longue inspiration par le nez, expire par la bouche.
    
    Il n’a pas encore découvert ce qui l’intéresse le plus. Derrière la porte se dresse une grande armoire. Ses portes grincent, et Dorian se trouve bientôt face aux tenues de sa mère. Des manteaux, des chaussures, mais surtout des jupes, des robes, des pulls et des chemisiers. Il voudrait tout respirer et bouffer en même temps, mais il faut faire vite. Une prédilection naturelle le pousse à décrocher une jupe bleu foncé à pois blancs. Il la porte à son visage, hume le tissu, le lèche, bave dessus. Quel bonheur ! Un vrai petit chien en rut. Sa misérable bite est dressée. Minuscule, enroulée comme un ver au-dessus de ses lourdes bourses. Curieuse disproportion entre l’instrument du plaisir, et la source du désir. Deux couilles remplies de semence, de quoi donner naissance à des millions de gamins ; deux couilles que tous les fantasmes, les frustrations, les voyeurismes du quotidien n’ont eu de cesse d’alimenter. Et pour exprimer ce désir de vie, de ...
    ... sexe, un organe lilliputien.
    
    Rendant impossible toute pénétration, toute fécondation. S’il avait été laid, au moins...
    
    Des larmes de rage lui montent aux yeux. Il frotte la jupe sur sa queue, l’enroule comme il peut. Il sent ses couilles pomper la semence, elle monte. Il fait très chaud, la salive lui manque, il bande comme un fou. Il pénètre la jupe comme la chatte de Virginie. Elle doit être mignonne, serrée, douce à l’intérieur. Il l’imagine sur le dos, ses gros seins qui rebondissent au rythme de ses va-et-vient, ses petits cris de plaisir, son visage grimaçant sous l’intensité de l’orgasme qui va venir. Et...
    
    A travers la fenêtre, on entend une voiture qui se gare dans l’allée. Ses pneus crissent sur les cailloux. Maman est déjà là ! Pris de panique, Dorian pousse les portes de l’armoire sans prendre le temps de remettre la jupe sur le cintre. Il traverse le couloir et s’enferme dans sa chambre. La voix de sa mère retentit dans le salon. C’était moins une.
    
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    Pendant une semaine, Dorian se masturbe à l’aide de la jupe. Au début, il se contente de se branler à travers le tissu, afin que la peau de sa bite soit en contact avec quelque chose de soyeux et de féminin. Il imagine beaucoup sa mère, mais d’autres femmes aussi. Des filles du lycée, la prof d’Anglais et son accent de pétasse. Toutes lui sont absolument inaccessibles. Le paradoxe, dans le cas de Dorian, c’est qu’il aurait le physique pour plaire. Il plaisait, d’ailleurs, avant de se rendre compte que son ...
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