1. Une mère dévouée (1)


    Datte: 16/10/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: DimStaknov, Source: Xstory

    ... communiquer avec les vivants que je voyais parler fort, rire, boire, vivre ! Je les regardais à travers une vitre, rejeté comme les femmes de ménage qu’on ne salue pas, les clochards assis par terre, les gamins silencieux du fond de la classe qui finissent par cartonner leurs camarades à coups de Winchester commandée sur EBay, putain. Insecte, insignifiant. Tu le sais pourtant ! Tu as écarté les cuisses pour me mettre au monde. Tu as bien dû voir les signes annonciateurs ! Alors, accepte une bonne fois pour toutes la vérité. Colle tes yeux à la vérité. Enfin, merde, maman, tu as même vu ma bite !
    
    En prononçant ces mots, ses yeux se brouillent, il essuie les larmes qui roulent sur ses joues. Il baisse alors son pantalon, son caleçon, et, une nouvelle fois, dévoile son intimité. Cette fois, il est dans le jardin, en plein jour. Le soleil triomphe dans les cieux, les feuillages bruissent, une douce brise lui caresse même les couilles. Il n’en a plus rien à foutre. Que tout le monde voie enfin ce qu’il a entre les jambes !
    
    Virginie s’est levée, elle avance vers lui et, sans crier gare, lui décoche une violente gifle. Dorian se tient la joue, stupéfait.
    
    — Je t’interdis de répéter ces mots ! Plus jamais ! C’est bien compris ?
    
    Il ne l’a jamais vue comme ça. Furieuse, tremblante de rage.
    
    — Maman... Je... Je suis désolé.
    
    Il bafouille, oscille entre la colère, le désespoir et la culpabilité d’avoir proféré de telles horreurs devant sa mère. Elle comprend ce qui se ...
    ... trame en lui ; ses traits s’adoucissent rapidement, et elle le saisit par les bras pour le serrer contre elle. Il résiste un peu, mais finit par céder. S’ensuit un long câlin où mère et fils pleurent sans bruit. Encore une fois, la situation a quelque chose de grotesque : le grand dadais, pantalon sur les chevilles, enlaçant sa mère. Par réflexe, Dorian a d’abord évité de prendre sa mère dans les bras. Maintenant, il donne sa reddition. Vaincu, il s’abandonne à une longue étreinte. Il enfouit même son visage contre son épaule, dans son cou. Elle sent bon, sa peau est toute douce. Dans les jupes de sa mère, il pleure enfin tout son soûl.
    
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    Quelques jours passent. Thierry finit par rentrer chez lui. Il lâche quelques détails sur le séminaire, visiblement agacé par les questions de sa femme. Elle lui reproche son indifférence, tous deux sont amers. La relation n’est pas meilleure avec son fils. Leurs liens se distendent inéluctablement depuis que Dorian est en âge de parler. Parler c’est penser, il n’y a pas de pensée sans langage. Parler, penser, comprendre que son père est un parfait abruti. Un minable sans ambition, sans aucune pudeur et sans aucune classe. La pudeur, c’est quelque chose qui revient souvent lorsqu’il pense à ce connard. Lui et sa grosse queue.
    
    En cette douce matinée, la maison est silencieuse. Virginie est sortie pour faire les courses. Elle doit se trouver au marché, entre un étal de légumes et un présentoir de jouets merdiques emballés dans une ...
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