1. Quadrifoglio


    Datte: 11/10/2021, Catégories: fh, fffh, couple, grossexe, grosseins, groscul, campagne, fsoumise, noculotte, ffontaine, entreseins, Oral fdanus, fsodo, délire, enfamille, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... et quelques pâtisseries pour accompagner ces breuvages. Marco regagna la maison après tout le monde, trempé comme une soupe et le pantalon maculé de boue. Il ne se mêla pas à la foule qui emplissait la salle, mais fila dans son bureau. Sur un signe du menton de son aînée, Regina alla s’en occuper.
    
    — Mon pauvre Marco, regarde dans quel état tu es. Il ne faut pas rester comme ça, viens te sécher.
    — Aucune importance…
    — Si, Marco. Nous ne voulons pas revenir dans un mois parce que tu auras attrapé la mort aujourd’hui. Allez, je t’en prie, viens, tu es trempé jusqu’aux os.
    
    Il la suivit jusqu’à la salle de bains. Elle lui posa son veston, puis sa cravate et sa chemise, tout dégoulinait. Le torse large et velu lui donna des frissons lorsqu’elle le frotta avec une serviette. Puis elle lui fit quitter son pantalon qui était dans un état lamentable et fit mine de se détourner en lui intimant de poser son caleçon, lui aussi à tordre. Mais ce qu’elle aperçut la bouleversa.
    
    Mamma mia, pensa-t-elle,notre sœur n’a pas dû s’ennuyer avec cet étalon. Je n’ai jamais rien vu de pareil !
    
    N’écoutant que son bon cœur charitable, elle se mit en devoir de s’agenouiller pour lui astiquer les jambes musclées, les fesses pommées et dures, effleurant de temps en temps, par totale inadvertance, ce sexe magnifique qui décrivait une courbe harmonieuse vers le sol. Ainsi au repos, il était déjà plus gros que celui de son époux en érection. Du coup, elle bichonna son beau-frère, courut lui ...
    ... chercher des vêtements secs puis un café et un cordial pour le réchauffer. Pour la remercier, il la prit dans ses bras et posa sa tête sur son épaule, son souffle dans son cou.
    
    — Tu sens bon et ta peau est douce comme celle de Claudia, murmura-t-il à son oreille.
    
    Puis il retourna dans son bureau où trônait une photo agrandie de sa femme, cliché qu’il avait pris quelques mois auparavant. Il s’en souvenait parfaitement : ils avaient encore pique-niqué, elle venait de lui apprendre qu’elle était enceinte, il était allongé sur l’herbe et la regardait danser de joie dans sa petite robe de coton, une main retenant son chapeau de paille. Elle était rayonnante, si vivante sur ce cliché saisi au vol. C’était à la fois l’expression du bonheur passé et surtout tellement la Claudia qu’il connaissait, courant la campagne comme elle adorait le faire.
    
    Tout le monde partit et la maison retrouva son calme après que le traiteur eut tout remporté. Les trois sœurs se retrouvèrent seules et décidèrent de dîner d’une simple soupe. Leila alla chercher Marco dans son bureau, mais revint en chuchotant :
    
    — Il s’est endormi, le pauvre.
    
    Elles soupèrent ensemble, envisageant l’avenir.
    
    — Que va-t-on faire de cette maison, demanda Francesca ?
    — On la garde, bien sûr, s’étonna Leila. Même si Claudia n’est plus là, c’est la maison de famille. C’est la seule occasion de nous retrouver une fois par an…
    — Je suis d’accord, confirma Regina, et puis de toute façon, qui voudrait acheter ici ?
    — ...
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