1. Quadrifoglio


    Datte: 11/10/2021, Catégories: fh, fffh, couple, grossexe, grosseins, groscul, campagne, fsoumise, noculotte, ffontaine, entreseins, Oral fdanus, fsodo, délire, enfamille, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... paraîtrait plus raisonnable.
    — Bien, trancha Francesca. D’accord Marco, nous prenons la moitié de tout, soit cent soixante-quinze mille pour les citrons, un million cinq pour le vin, soit un million six cent soixante-quinze pour le tout.
    — Et tu oublies l’huile d’olive ! Ce n’est pas ce qui rapporte le plus, j’ai calculé environ trente mille euros selon le prix du litre, ajoute Gina.
    — Pour ça, ma belle, je dirais que tout dépend du conditionnement et du marketing. En vacances, j’ai vu en France une petite dame qui vendait son huile d’olive dans des flacons ressemblant à des flacons de parfum à deux cents euros le demi-litre ! Tu imagines ? On va à Murano faire faire de jolis flacons et tes trente mille euros deviennent six millions !
    — Arrêtez, les filles ! Vous délirez… Et à quoi vous servira tout ce pognon ?
    — Mais à faire revivre cette propriété et même tout le village. Parce ça fera des taxes pour la commune, des emplois, des maisons à réhabiliter pour les loger… De la vie, en l’honneur de nos parents et de Claudia. Je crois, je suis sûre qu’on le leur doit. Maintenant, on peut voter et tu peux être contre. Mais Marco, sans toi, cette discussion n’aurait pas lieu. Notre envie de revenir, c’est pour toi. Le savoir-faire, c’est toi. Au pire, en admettant que ça ne marche pas très bien, notre histoire, on devrait au moins récupérer un million par an, non ?
    — Oui, ça me paraît un chiffre honnête et plus près de la réalité.
    — Bon. Imaginons qu’on ait dix employés à ...
    ... mille quatre cents par mois plus les charges, ça nous fait deux cent mille euros de frais de personnel. C’est souvent la charge la plus élevée d’une entreprise, mais là il y aura le transport des produits, le conditionnement, le stockage… Allez, grosso merdo trois cent mille euros. Restent cinq cent mille euros. Tu comptes cent mille euros de taxes, et il nous reste cent mille chacun. Et ce, dans le pire des cas.
    — Ouais, protesta Marco, mais on va s’emmerder pour gagner tout ce pognon, et moi j’ai pas envie de m’emmerder…
    — Tu as un boulot, non ?
    — Justement, ça m’emmerde assez comme ça. Je ne vais pas en rajouter.
    — Tu gagnes cent mille euros par an à faire l’instit ?
    — Ah ça non ! C’est à peine le tiers, tu rigoles.
    — Eh bien, tu arrêtes, tu te mets en disponibilité par sécurité. Si dans deux ans ça ne marche pas, tu reprends ton poste.
    — Et en attendant ? La nature va à son rythme, il faudra du temps avant d’être à pleine production.
    — Tu oublies notre pactole de femmes divorcées. Merde, on l’a bien gagné celui-là, avec nos culs et au moins dix des plus belles années de nos vies !
    — Et les clients, on va les trouver où ?
    — Je te dis, à Naples, à Rome, c’est sûr. Mais tu crois qu’à Milan ou à Turin ils n’en seront pas fous ? Et c’est dans le nord qu’il y a le pognon. C’est clair pour tous : on produit peu, mais des produits de luxe pour les riches.
    — Tu vois Fran, présenté comme ça, ça me va mieux. Baiser les riches, ça me plaît bien, sourit le mâle.
    — On s’en est ...
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